Cet accord a été paraphé par M. Abdellatif Ouahbi, ministre de la Justice du Royaume du Maroc, et M. Mohamed Ould Soueidatt, ministre de la Justice de la République islamique de Mauritanie.
Ce programme s’inscrit dans une vision commune visant à moderniser l’administration judiciaire et à renforcer la coopération bilatérale à travers l’échange d’expériences et de bonnes pratiques en matière de numérisation, de formation et de gouvernance institutionnelle. Il ambitionne de favoriser la transparence, d’améliorer la qualité des services judiciaires et de rapprocher la justice du citoyen.
Le plan d’action prévoit notamment le développement des infrastructures numériques, l’échange d’expertises en matière de transformation électronique des services judiciaires, la formation continue du personnel judiciaire, ainsi que la mise à jour de la législation relative aux nouvelles technologies appliquées à la gestion du service public de la justice.
Dans son intervention, M. Abdellatif Ouahbi a souligné que cette initiative illustre la volonté commune de renforcer la coopération Sud-Sud et de faire de la transformation numérique un levier stratégique pour améliorer la qualité de la justice et la rapprocher des citoyens.
Il a également mis en avant la nécessité d’une coopération accrue face aux défis partagés, tels que la migration et la traite des êtres humains, rappelant que « le migrant quitte son pays pour améliorer ses conditions de vie, et qu’il est de notre devoir, en tant que pays partenaires, de lui assurer la protection juridique et humaine nécessaire ».
Le ministre marocain a, en outre, réaffirmé la disponibilité du Maroc à mettre son expertise en matière de gestion judiciaire et de numérisation au service du ministère mauritanien, témoignant ainsi de la profondeur et de la solidité des relations entre les deux nations.
De son côté, M. Mohamed Ould Soueidatt s’est félicité du niveau exemplaire des relations maroco-mauritaniennes, estimant que « la nature même de l’interdépendance entre les États impose l’établissement de partenariats fondés sur la solidarité et la complémentarité ».
Il a salué le paysage démocratique marocain et la maturité politique du Royaume, notamment à travers la gestion sereine des manifestations et les grandes réformes législatives entreprises, qu’il a qualifiées de « reflet d’une expérience constitutionnelle aboutie ».
La rencontre s’est conclue par une réaffirmation de la volonté commune des deux pays de poursuivre la mise en œuvre effective du programme signé, tout en renforçant leur coopération dans les domaines de la transformation numérique, de la coopération judiciaire, et de la lutte contre la criminalité transnationale et la traite des êtres humains, conformément aux hautes orientations de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et de Son Excellence le Président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, dans le cadre d’une coopération africaine fondée sur la solidarité, le respect mutuel et la complémentarité Sud-Sud.
Ce programme s’inscrit dans une vision commune visant à moderniser l’administration judiciaire et à renforcer la coopération bilatérale à travers l’échange d’expériences et de bonnes pratiques en matière de numérisation, de formation et de gouvernance institutionnelle. Il ambitionne de favoriser la transparence, d’améliorer la qualité des services judiciaires et de rapprocher la justice du citoyen.
Le plan d’action prévoit notamment le développement des infrastructures numériques, l’échange d’expertises en matière de transformation électronique des services judiciaires, la formation continue du personnel judiciaire, ainsi que la mise à jour de la législation relative aux nouvelles technologies appliquées à la gestion du service public de la justice.
Dans son intervention, M. Abdellatif Ouahbi a souligné que cette initiative illustre la volonté commune de renforcer la coopération Sud-Sud et de faire de la transformation numérique un levier stratégique pour améliorer la qualité de la justice et la rapprocher des citoyens.
Il a également mis en avant la nécessité d’une coopération accrue face aux défis partagés, tels que la migration et la traite des êtres humains, rappelant que « le migrant quitte son pays pour améliorer ses conditions de vie, et qu’il est de notre devoir, en tant que pays partenaires, de lui assurer la protection juridique et humaine nécessaire ».
Le ministre marocain a, en outre, réaffirmé la disponibilité du Maroc à mettre son expertise en matière de gestion judiciaire et de numérisation au service du ministère mauritanien, témoignant ainsi de la profondeur et de la solidité des relations entre les deux nations.
De son côté, M. Mohamed Ould Soueidatt s’est félicité du niveau exemplaire des relations maroco-mauritaniennes, estimant que « la nature même de l’interdépendance entre les États impose l’établissement de partenariats fondés sur la solidarité et la complémentarité ».
Il a salué le paysage démocratique marocain et la maturité politique du Royaume, notamment à travers la gestion sereine des manifestations et les grandes réformes législatives entreprises, qu’il a qualifiées de « reflet d’une expérience constitutionnelle aboutie ».
La rencontre s’est conclue par une réaffirmation de la volonté commune des deux pays de poursuivre la mise en œuvre effective du programme signé, tout en renforçant leur coopération dans les domaines de la transformation numérique, de la coopération judiciaire, et de la lutte contre la criminalité transnationale et la traite des êtres humains, conformément aux hautes orientations de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et de Son Excellence le Président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, dans le cadre d’une coopération africaine fondée sur la solidarité, le respect mutuel et la complémentarité Sud-Sud.