Laftit, qui présentait le budget sectoriel du ministère de l'Intérieur pour l'année 2026 devant la Commission de l'intérieur, des collectivités territoriales, de l'habitat, de la politique de la ville et des affaires administratives, a souligné que les services du ministère ont eu recours aux nouvelles technologies dans leur action préemptive, dont l'intégration de l'intelligence artificielle dans les systèmes d'information et la numérisation des documents administratifs et des procédures y afférentes.
Le ministère, a dit M. Laftit, dote également les policiers de caméras portatives afin de documenter leurs interventions et améliorer la reddition de comptes, utilise des drones pour surveiller les zones étendues, et met en place des unités spécialisées dans la lutte contre la cybercriminalité ainsi qu'une plateforme digitale pour le signalement des contenus relevant de la cybercriminalité.
A cette occasion, le ministre a passé en revue les efforts déployés par son département en vue de renforcer la gouvernance sécuritaire au Royaume sur plusieurs niveaux, eu égard au rôle central que joue la sécurité dans le renforcement de la stabilité et la promotion du développement.
Concernant la lutte contre la criminalité, M. Laftit a affirmé que le ministère de l'Intérieur a adopté une stratégie sécuritaire solide, fondée essentiellement sur la primauté de la loi et s'appuyant sur des mesures préventives, à travers l'élaboration de plans préemptifs, ainsi que sur des mesures dissuasives, par le biais des enquêtes et des interpellations, a ajouté le ministre, notant que cette stratégie prend également en considération les facteurs sociaux qui impactent de manière directe ou indirecte l'apparition de comportements répréhensibles.
A cet égard, le ministre a indiqué que les services de son département oeuvrent pour l'élaboration de politiques sécuritaires efficientes qui tiennent compte de divers facteurs territoriaux, notamment le taux de chômage, le niveau de pauvreté, le taux de scolarisation et l'accès aux services de santé.
M. Laftit a souligné que l'expérience marocaine a abouti à des avancées considérables et des progrès significatifs en matière de sécurité, tant au niveau de l'intervention préemptive face aux menaces terroristes qu'à celui de la lutte contre le crime organisé.
Concernant l'évolution des crimes terroristes à travers le recours aux nouvelles technologies, le ministre a affirmé que les autorités marocaines a consacré l'approche préemptive pour identifier les menaces et déjouer les plans terroristes dès leur phase de conception.
La vigilance des services de sécurité a ainsi permis le démantèlement de plus de 200 cellules terroristes depuis 2002, dont trois en 2005, a fait valoir M. Laftit, tout en réaffirmant l'engagement continu du Royaume au sein du système international, notamment à travers une coopération étroite en matière d'échange de renseignements sécuritaires par le biais des organisations internationales chargées de la lutte contre le terrorisme et le crime organisé.
"Le Maroc joue un rôle de premier plan ayant permis de déjouer plusieurs projets d'attentat visant des pays amis", a-t-il rappelé.
Le ministère, a dit M. Laftit, dote également les policiers de caméras portatives afin de documenter leurs interventions et améliorer la reddition de comptes, utilise des drones pour surveiller les zones étendues, et met en place des unités spécialisées dans la lutte contre la cybercriminalité ainsi qu'une plateforme digitale pour le signalement des contenus relevant de la cybercriminalité.
A cette occasion, le ministre a passé en revue les efforts déployés par son département en vue de renforcer la gouvernance sécuritaire au Royaume sur plusieurs niveaux, eu égard au rôle central que joue la sécurité dans le renforcement de la stabilité et la promotion du développement.
Concernant la lutte contre la criminalité, M. Laftit a affirmé que le ministère de l'Intérieur a adopté une stratégie sécuritaire solide, fondée essentiellement sur la primauté de la loi et s'appuyant sur des mesures préventives, à travers l'élaboration de plans préemptifs, ainsi que sur des mesures dissuasives, par le biais des enquêtes et des interpellations, a ajouté le ministre, notant que cette stratégie prend également en considération les facteurs sociaux qui impactent de manière directe ou indirecte l'apparition de comportements répréhensibles.
A cet égard, le ministre a indiqué que les services de son département oeuvrent pour l'élaboration de politiques sécuritaires efficientes qui tiennent compte de divers facteurs territoriaux, notamment le taux de chômage, le niveau de pauvreté, le taux de scolarisation et l'accès aux services de santé.
M. Laftit a souligné que l'expérience marocaine a abouti à des avancées considérables et des progrès significatifs en matière de sécurité, tant au niveau de l'intervention préemptive face aux menaces terroristes qu'à celui de la lutte contre le crime organisé.
Concernant l'évolution des crimes terroristes à travers le recours aux nouvelles technologies, le ministre a affirmé que les autorités marocaines a consacré l'approche préemptive pour identifier les menaces et déjouer les plans terroristes dès leur phase de conception.
La vigilance des services de sécurité a ainsi permis le démantèlement de plus de 200 cellules terroristes depuis 2002, dont trois en 2005, a fait valoir M. Laftit, tout en réaffirmant l'engagement continu du Royaume au sein du système international, notamment à travers une coopération étroite en matière d'échange de renseignements sécuritaires par le biais des organisations internationales chargées de la lutte contre le terrorisme et le crime organisé.
"Le Maroc joue un rôle de premier plan ayant permis de déjouer plusieurs projets d'attentat visant des pays amis", a-t-il rappelé.



















