Alors que Gaza est détruite et affamée, le sionisme s’effondre lentement, mais sûrement. Gaza renaîtra de ses cendres, car l’impossible n’est pas palestinien. Rien n’est impossible pour un peuple qui refuse de mourir.
Quant au sionisme, il finira par rejoindre en enfer d’autres idéologies meurtrières!
Cependant, la fin du sionisme ne signifie pas celle du judaïsme, qui a survécu à plus de trois millénaires d’histoire. Les victimes de la Nakba de 1948 ne sont pas seulement les 900 000 palestiniens déplacés, exilés, séparés, spoliés. Ni les 100 mille gazaouis tués, blessés ou disparus. Ce sont aussi, d'une certaine manière, tous les juifs nés en Israël après cette date. Ils sont les enfants d’un viol.
Le génocide à Gaza devrait, en principe, briser leur longue aliénation. Certains commencent à le reconnaître : dans l’armée israélienne, une centaine de réservistes ont choisi une voie radicale pour préserver leur humanité, le suicide. Un général de l’armée israélienne qualifie actuellement Israël d’État paria. Des milliers de citoyens d'Israël ont quitté le pays. Entre les supporters et les opposants de Netanyahou, Israël est sur le bord de l'éclatement.
Très bientôt, j’espère, il sera temps de revenir à la case départ : refonder une coexistence pacifique entre musulmans, juifs et chrétiens sur l'ensemble de la Palestine. Le modèle sud-africain montre clairement qu’il est possible pour des ennemis d’hier de cohabiter. La reconnaissance politique et juridique de la Palestine par la communauté internationale sera une étape capitale pour enterrer définitivement l’idéologie coloniale qui a dominé le monde depuis cinq siècles.
Le colonialisme, dans ses différentes formes, déshumanise les colonisés. Ceux qu’on qualifiait de « communautés non juives » sur la terre de Palestine historique, en 1917, dans la déclaration Balfour, sont aujourd’hui plus que jamais des Palestiniens avec des noms, des prénoms et une soif de liberté que toutes les bombes du monde n'arriveront jamais à éteindre. Leur reconnaissance aura coûté cher : un génocide au bout de 76 années de résistance. Les anciennes puissances coloniales, ont manqué à leur devoir moral et géopolitique en fermant les yeux sur un génocide. Ça ne sera pas la première fois!
Maintenant que le monstre sioniste menace la paix mondiale et leurs intérêts dans la région, le récit médiatique commence à évoluer, utilisant d’autres éléments de langage pour préparer l’opinion à une nouvelle étape au Moyen-Orient. Une nouvelle géopolitique.
Pendant ce temps, sur nos plateaux de télé en occident, de nombreux analystes, journalistes, professeurs, historiens et philosophes de pacotille, occultent la vérité en évitant de reconnaître que le projet sioniste est en train de s’écrouler. Qu’il y a 76 ans que cette histoire a commencé et que le 7 octobre marque le début de sa fin.
Quelque chose de plus proche de la vérité est en train d'éclater au grand jour. Tôt ou tard, ils devront corriger leur discours, truffé de mensonges, comme celui qui affirme qu’Israël a été fondé sur une légitime sécurité. L'histoire retiendra que c’est le peuple palestinien qui a mené une résistance légitime face à un occupant.
Mais peu importe le commentaire des commentateurs, y compris le mien, l’histoire est en marche.
La tombe du sionisme est déjà creusée!
Quant au sionisme, il finira par rejoindre en enfer d’autres idéologies meurtrières!
Cependant, la fin du sionisme ne signifie pas celle du judaïsme, qui a survécu à plus de trois millénaires d’histoire. Les victimes de la Nakba de 1948 ne sont pas seulement les 900 000 palestiniens déplacés, exilés, séparés, spoliés. Ni les 100 mille gazaouis tués, blessés ou disparus. Ce sont aussi, d'une certaine manière, tous les juifs nés en Israël après cette date. Ils sont les enfants d’un viol.
Le génocide à Gaza devrait, en principe, briser leur longue aliénation. Certains commencent à le reconnaître : dans l’armée israélienne, une centaine de réservistes ont choisi une voie radicale pour préserver leur humanité, le suicide. Un général de l’armée israélienne qualifie actuellement Israël d’État paria. Des milliers de citoyens d'Israël ont quitté le pays. Entre les supporters et les opposants de Netanyahou, Israël est sur le bord de l'éclatement.
Très bientôt, j’espère, il sera temps de revenir à la case départ : refonder une coexistence pacifique entre musulmans, juifs et chrétiens sur l'ensemble de la Palestine. Le modèle sud-africain montre clairement qu’il est possible pour des ennemis d’hier de cohabiter. La reconnaissance politique et juridique de la Palestine par la communauté internationale sera une étape capitale pour enterrer définitivement l’idéologie coloniale qui a dominé le monde depuis cinq siècles.
Le colonialisme, dans ses différentes formes, déshumanise les colonisés. Ceux qu’on qualifiait de « communautés non juives » sur la terre de Palestine historique, en 1917, dans la déclaration Balfour, sont aujourd’hui plus que jamais des Palestiniens avec des noms, des prénoms et une soif de liberté que toutes les bombes du monde n'arriveront jamais à éteindre. Leur reconnaissance aura coûté cher : un génocide au bout de 76 années de résistance. Les anciennes puissances coloniales, ont manqué à leur devoir moral et géopolitique en fermant les yeux sur un génocide. Ça ne sera pas la première fois!
Maintenant que le monstre sioniste menace la paix mondiale et leurs intérêts dans la région, le récit médiatique commence à évoluer, utilisant d’autres éléments de langage pour préparer l’opinion à une nouvelle étape au Moyen-Orient. Une nouvelle géopolitique.
Pendant ce temps, sur nos plateaux de télé en occident, de nombreux analystes, journalistes, professeurs, historiens et philosophes de pacotille, occultent la vérité en évitant de reconnaître que le projet sioniste est en train de s’écrouler. Qu’il y a 76 ans que cette histoire a commencé et que le 7 octobre marque le début de sa fin.
Quelque chose de plus proche de la vérité est en train d'éclater au grand jour. Tôt ou tard, ils devront corriger leur discours, truffé de mensonges, comme celui qui affirme qu’Israël a été fondé sur une légitime sécurité. L'histoire retiendra que c’est le peuple palestinien qui a mené une résistance légitime face à un occupant.
Mais peu importe le commentaire des commentateurs, y compris le mien, l’histoire est en marche.
La tombe du sionisme est déjà creusée!