Le Maroc a franchi une étape importante en signant un protocole d’accord avec l’Australie, ouvrant la voie à l'importation de moutons vivants. Cette décision stratégique vise à soutenir la reconstitution du cheptel national et à revitaliser les élevages locaux, durement touchés par la sécheresse. L'annonce, relayée dans un communiqué du Conseil australien des exportateurs de bétail (ALEC), marque un tournant dans la coopération agricole entre les deux nations, offrant de nouvelles perspectives tant pour l’Australie que pour le Maroc.
A cette occasion, Le PDG d'ALEC, Mark Harvey-Sutton, a souligné que ce protocole offrirait aux exportateurs australiens un accès précieux au marché marocain, où la demande de bétail est pressante en raison des dégâts causés aux troupeaux locaux par la sécheresse.
« Cette annonce démontre une fois de plus que le commerce de bétail vivant répond à des besoins réels dans d'autres pays, en fournissant des produits fiables pour nourrir les populations et en offrant un marché essentiel pour nos agriculteurs », a-t-il déclaré.
« C’est une excellente nouvelle pour les exportations australiennes : nos moutons pourront soutenir les troupeaux marocains, tout en ouvrant de nouvelles opportunités pour nos producteurs », a ajouté Harvey-Sutton.
Récemment de passage au Maroc, il a précisé que le gouvernement marocain insistait depuis près de 18 mois pour obtenir du bétail australien, en raison de la stabilité et de la fiabilité de notre approvisionnement.
« Le ministre marocain de l'Agriculture nous a expliqué combien l'ouverture de ce commerce avec l'Australie est cruciale pour la sécurité alimentaire de son pays. En retour, nous avons souligné que cet accord serait bénéfique pour les producteurs de moutons de l’Australie-Occidentale et qu’il représenterait un progrès positif pour nos deux nations. »
Harvey-Sutton a ajouté que la forte demande pour le bétail australien est due à sa réputation de fiabilité et de statut sans maladies, alors que d'autres marchés rencontrent des problèmes d'approvisionnement ou de maladies.
La ministre de l'Agriculture, Julie Collins, a annoncé cette semaine, avant son départ pour le Royaume-Uni et l'Union européenne, qu'elle discuterait de la « sécurité alimentaire » lors de ses rencontres.
A cette occasion, Le PDG d'ALEC, Mark Harvey-Sutton, a souligné que ce protocole offrirait aux exportateurs australiens un accès précieux au marché marocain, où la demande de bétail est pressante en raison des dégâts causés aux troupeaux locaux par la sécheresse.
« Cette annonce démontre une fois de plus que le commerce de bétail vivant répond à des besoins réels dans d'autres pays, en fournissant des produits fiables pour nourrir les populations et en offrant un marché essentiel pour nos agriculteurs », a-t-il déclaré.
« C’est une excellente nouvelle pour les exportations australiennes : nos moutons pourront soutenir les troupeaux marocains, tout en ouvrant de nouvelles opportunités pour nos producteurs », a ajouté Harvey-Sutton.
Récemment de passage au Maroc, il a précisé que le gouvernement marocain insistait depuis près de 18 mois pour obtenir du bétail australien, en raison de la stabilité et de la fiabilité de notre approvisionnement.
« Le ministre marocain de l'Agriculture nous a expliqué combien l'ouverture de ce commerce avec l'Australie est cruciale pour la sécurité alimentaire de son pays. En retour, nous avons souligné que cet accord serait bénéfique pour les producteurs de moutons de l’Australie-Occidentale et qu’il représenterait un progrès positif pour nos deux nations. »
Harvey-Sutton a ajouté que la forte demande pour le bétail australien est due à sa réputation de fiabilité et de statut sans maladies, alors que d'autres marchés rencontrent des problèmes d'approvisionnement ou de maladies.
La ministre de l'Agriculture, Julie Collins, a annoncé cette semaine, avant son départ pour le Royaume-Uni et l'Union européenne, qu'elle discuterait de la « sécurité alimentaire » lors de ses rencontres.