Le Chef de la diplomatie espagnole a accordé une interview au journal "La Vanguardia" à une dizaine de jours des législatives anticipées en Espagne. Il en a profité pour évoquer plusieurs aspects de la politique étrangère, dont les relations avec le Maroc. Le ministre espagnol n'a pas manqué d'adresser une piqûre de rappel au parti populaire qui s'est montré très critique de la politique de rapprochement menée par le gouvernement de Pedro Sanchez à l'égard du Royaume. "Je constate que le PP revient à ses origines", a -t-il lâché, faisant allusion aux positions, jugées anti-marocaines du parti présidé par Alberto Nunez Feijoo.
José Manuel Albares a également mis en garde contre un éventuel virage anti-marocain de la droite conservatrice, à laquelle il reproche de chercher une confrontation avec le Maroc. “S'il y a une politique étrangère d’Etat à proprement dit, c’est envers le Maroc”.
Le ministre, qui a joué un rôle important dans la réconciliation entre Rabat et Madrid après la crise du Ghali gate, a déclaré que les relations entre les deux pays sont tellement excellentes qu'elles sont mutuellement bénéfiques.
Le Maroc continue d'être du débat public en Espagne à l'approche des élections législatives anticipées qui auront lieu le 23 juillet. Le Chef sortant du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, continue de défendre son partenariat avec le Maroc et son soutien au plan d'autonomie tandis que son rival de droite, Alberto Feijoo, s'est montré ambigu sur la position que pourrait adopter sa formation politique si elle arrive au pouvoir tout en affirmant, pourtant, sa volonté d'avoir de bonnes relations avec le Royaume.
Pour rappel, la patron du PP a fait savoir qu’il effectuerait son premier déplacement officiel au royaume chérifien.
José Manuel Albares a également mis en garde contre un éventuel virage anti-marocain de la droite conservatrice, à laquelle il reproche de chercher une confrontation avec le Maroc. “S'il y a une politique étrangère d’Etat à proprement dit, c’est envers le Maroc”.
Le ministre, qui a joué un rôle important dans la réconciliation entre Rabat et Madrid après la crise du Ghali gate, a déclaré que les relations entre les deux pays sont tellement excellentes qu'elles sont mutuellement bénéfiques.
Le Maroc continue d'être du débat public en Espagne à l'approche des élections législatives anticipées qui auront lieu le 23 juillet. Le Chef sortant du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, continue de défendre son partenariat avec le Maroc et son soutien au plan d'autonomie tandis que son rival de droite, Alberto Feijoo, s'est montré ambigu sur la position que pourrait adopter sa formation politique si elle arrive au pouvoir tout en affirmant, pourtant, sa volonté d'avoir de bonnes relations avec le Royaume.
Pour rappel, la patron du PP a fait savoir qu’il effectuerait son premier déplacement officiel au royaume chérifien.