Indignation de la presse internationale
Les derniers incidents de l’Uruguay-Ghana ont suscité une grande polémique. La presse internationale a pointé du doigt l’équipe nationale uruguayenne pour son fâcheux comportement anti-sportif constituant la honte de la Coupe du monde Qatar 2022.
Le match n'a pas fini quand Daniel Siebert a sifflé la fin du choc. Bien au contraire, les joueurs de l’Uruguay avec Cavani et José María Giménez à la barre, ont cherché à rendre justice sans aucune voie au-delà d'éventuelles sanctions.
L'arbitre allemand Daniel Siebert avait déçu dans ses décisions mais tous les acteurs en litige n'avaient pas raison, car ils n'ont pas mesuré leurs réactions et, surtout, les conséquences possibles. Le formidable crack de Giménez n’est pas passé inaperçu: « C'est tous une bande de voleurs, ces fils de.... ».
Une suspension pour Cavani et Jimenez
Valence et l'Atlético de Madrid redoutent une suspension pour Cavani et Jimenez qui sont encore sous contrat mais selon les règlements en vigueur, ils doivent être tranquilles.
Les sanctions que l'attaquant et le défenseur peuvent subir ne seront pas reflétées dans les compétitions nationales.
Les deux pourront rejoindre le redémarrage de la Liga sans aucun problème. Ils seront sanctionnés et suspendus certes mais pour les rencontres avec l'équipe uruguayenne.
La sanction n'aura pas une portée globale dans le sens où elle n'affectera pas les deux équipes. L'Uruguay et plus particulièrement le défenseur central de l'Atlético Jimenez n'ont pas eu de chance avec les décisions arbitrales.
Peu de gens ont compris le penalty qui lui a été infligé contre le Portugal. Giménez est allé au sol et sa main est entrée en contact avec le ballon à la chute, un geste qui n'était pas considéré comme une pénalité, mais à la surprise générale, il a été marqué comme tel.
Sans ce mouvement, l'Uruguay aurait été présent en huitièmes de finale, alors la colère des joueurs a explosé à la fin du dernier match décisif contre le Ghana. Réaction excessive, mais chaude à l'élimination.
L’intervention de la FIFA
La FIFA analysera tout ce qui s'est passé avant de prendre une décision.
Le moment, les causes... mais la sanction n'impliquera aucune punition pour l'Atlético de Madrid ou Valence.
Cavani et Jimenez auront plusieurs matches sans pouvoir jouer avec leur équipe nationale.
D’ailleurs, même la Fédération uruguayenne sera également sanctionnée.
L'Uruguay a été éliminé et l'arbitre Daniel Siebert aura du mal à continuer en Coupe du monde.
International depuis 2015, il a fait ses débuts dans les grandes compétitions et la vérité est que pendant le match, il laissait beaucoup à désirer.
Il a permis des attitudes négatives des joueurs uruguayens, les ignorant, mais la goutte d'eau est venue à la fin de l'engagement avec le manque de contrôle qu'il y avait sur le terrain. Tout indique qu'il a signé son passeport de sortie de Coupe du monde.
La colère et la frustration
La colère et la frustration ont envahi les joueurs uruguayens après le coup de sifflet final du match contre le Ghana.
La Celeste a gagné, mais le dernier but de la Corée du Sud l’a tenue à l'écart des huitièmes de finale de la Coupe du monde pour la première fois en 20 ans.
La grande bagarre entre les joueurs uruguayens et l'arbitre allemand, Daniel Siebert, est née du jeu controversé de fin de match au cours duquel Cavani a été renversé dans la surface et toute l'équipe uruguayenne a réclamé un penalty.
Une action qui n'a pas été revue, contrairement à l'action de la première mi-temps qui a été indiquée après que la salle VAR a attiré l'attention de l'arbitre.
À la fin du choc, plusieurs joueurs uruguayens se sont emportés contre l’arbitre.
Les choses n'ont pas empiré heureusement car l'arbitre s'est rapidement retiré dans les vestiaires, mais la colère des joueurs s'est poursuivie au point que Cavani a renversé l'écran du VAR lors de son passage au vestiaire en le cassant d’un coup de poing.
Il semble prouver que ce qui s'est passé va signifier des sanctions pour les joueurs.
Les derniers incidents de l’Uruguay-Ghana ont suscité une grande polémique. La presse internationale a pointé du doigt l’équipe nationale uruguayenne pour son fâcheux comportement anti-sportif constituant la honte de la Coupe du monde Qatar 2022.
Le match n'a pas fini quand Daniel Siebert a sifflé la fin du choc. Bien au contraire, les joueurs de l’Uruguay avec Cavani et José María Giménez à la barre, ont cherché à rendre justice sans aucune voie au-delà d'éventuelles sanctions.
L'arbitre allemand Daniel Siebert avait déçu dans ses décisions mais tous les acteurs en litige n'avaient pas raison, car ils n'ont pas mesuré leurs réactions et, surtout, les conséquences possibles. Le formidable crack de Giménez n’est pas passé inaperçu: « C'est tous une bande de voleurs, ces fils de.... ».
Une suspension pour Cavani et Jimenez
Valence et l'Atlético de Madrid redoutent une suspension pour Cavani et Jimenez qui sont encore sous contrat mais selon les règlements en vigueur, ils doivent être tranquilles.
Les sanctions que l'attaquant et le défenseur peuvent subir ne seront pas reflétées dans les compétitions nationales.
Les deux pourront rejoindre le redémarrage de la Liga sans aucun problème. Ils seront sanctionnés et suspendus certes mais pour les rencontres avec l'équipe uruguayenne.
La sanction n'aura pas une portée globale dans le sens où elle n'affectera pas les deux équipes. L'Uruguay et plus particulièrement le défenseur central de l'Atlético Jimenez n'ont pas eu de chance avec les décisions arbitrales.
Peu de gens ont compris le penalty qui lui a été infligé contre le Portugal. Giménez est allé au sol et sa main est entrée en contact avec le ballon à la chute, un geste qui n'était pas considéré comme une pénalité, mais à la surprise générale, il a été marqué comme tel.
Sans ce mouvement, l'Uruguay aurait été présent en huitièmes de finale, alors la colère des joueurs a explosé à la fin du dernier match décisif contre le Ghana. Réaction excessive, mais chaude à l'élimination.
L’intervention de la FIFA
La FIFA analysera tout ce qui s'est passé avant de prendre une décision.
Le moment, les causes... mais la sanction n'impliquera aucune punition pour l'Atlético de Madrid ou Valence.
Cavani et Jimenez auront plusieurs matches sans pouvoir jouer avec leur équipe nationale.
D’ailleurs, même la Fédération uruguayenne sera également sanctionnée.
L'Uruguay a été éliminé et l'arbitre Daniel Siebert aura du mal à continuer en Coupe du monde.
International depuis 2015, il a fait ses débuts dans les grandes compétitions et la vérité est que pendant le match, il laissait beaucoup à désirer.
Il a permis des attitudes négatives des joueurs uruguayens, les ignorant, mais la goutte d'eau est venue à la fin de l'engagement avec le manque de contrôle qu'il y avait sur le terrain. Tout indique qu'il a signé son passeport de sortie de Coupe du monde.
La colère et la frustration
La colère et la frustration ont envahi les joueurs uruguayens après le coup de sifflet final du match contre le Ghana.
La Celeste a gagné, mais le dernier but de la Corée du Sud l’a tenue à l'écart des huitièmes de finale de la Coupe du monde pour la première fois en 20 ans.
La grande bagarre entre les joueurs uruguayens et l'arbitre allemand, Daniel Siebert, est née du jeu controversé de fin de match au cours duquel Cavani a été renversé dans la surface et toute l'équipe uruguayenne a réclamé un penalty.
Une action qui n'a pas été revue, contrairement à l'action de la première mi-temps qui a été indiquée après que la salle VAR a attiré l'attention de l'arbitre.
À la fin du choc, plusieurs joueurs uruguayens se sont emportés contre l’arbitre.
Les choses n'ont pas empiré heureusement car l'arbitre s'est rapidement retiré dans les vestiaires, mais la colère des joueurs s'est poursuivie au point que Cavani a renversé l'écran du VAR lors de son passage au vestiaire en le cassant d’un coup de poing.
Il semble prouver que ce qui s'est passé va signifier des sanctions pour les joueurs.
