Les représentants des différents médias attendaient avec impatience un point de presse d’un dirigeant de l’IRT pour voir au clair ce qui se passe vraiment à l’équipe tangéroise dont la gestion manquant de transparence donne beaucoup à réfléchir.
Après un long silence incompréhensible, le président Mohamed Cherkaoui fait une brusque apparition pour parler à la presse. Mais cette fois-ci, loin des journalistes qu’il ne veut pas affronter pour des raisons inconnues, il répond à un jeu de questions-réponses, mais dans le site officiel du club en arabe :
Q- Où en est l’IRT à l’heure où vous êtes le plus souvent absent pour des raisons professionnelles ou politiques ?
R- L’IRT est sur la bonne voie puisque le projet de la saison écoulée connait sa continuité. Quant à mon absence, il est incompréhensible de la voir signalée dans les réseaux sociaux et j’ose dire qu’elle n’a aucune justification. Partout où je suis, je travaille pour l’IRT avec mes collègues du comité.
A vrai dire, je suis absent dans ma famille. La nuit, là où je suis, je n’arrive pas à dormir bien que ma santé nécessite huit heures de repos.
D’ailleurs avec la technique moderne, il est facile de gérer une formation professionnelle de football de n’importe quel lieu quand il y a les moyens financiers adéquats.
Q-Est-ce que ces moyens financiers existent ?
R- Le manque de moyens financiers est la grande polémique qui entrave la bonne marche de l’équipe. Il est bien dommage pour Tanger deuxième important pole économique du royaume qui n’a pas d’entreprises ou de riches volontaires pour sponsoriser l’un des deux représentants du football professionnel dans toute la Région Tanger-Tétouan-Al-Hoceima.
Q- Et le Wali ? Est-ce qu’il soutient le club ?
R- Il est le seul parrain de l’IRT. Comme tous les supporters le savent, Mohamed Mhidia a contribué au « miracle » du maintien de la formation en première division avec 80%. Le reste de 20% correspondait au travail du comité, du staff technique et des joueurs.
Grace aussi à lui, le début de la saison 23/24 parait très prometteur du fait que nos deux premiers matchs étaient disputés sans la participation des nouvelles recrues.
Maintenant la question que nous devons nous poser est la suivante : le Wali est-il obligé de soutenir et d’aider financièrement un club de football d’autant plus qu’il a d’autres occupations professionnelles plus importantes ? Bien sûr que non.
Q- Où en est l’histoire de la qualification des footballeurs récemment recrutés ?
R- Tous les joueurs sont qualifiés sauf Jaaidi, China et Masiké qui ont des problèmes d’ordre administratif et qui seront prêts pour la troisième journée du championnat.
Q-Le nombre de footballeurs à l’effectif a beaucoup augmenté. Qu’en pensez-vous ?
R- L’IRT est la deuxième équipe dans le monde à avoir effectué le plus grand nombre de nouvelles recrues après l’Arabie Saoudite. C’est la fierté pour nous. Nous ne voulons pas revivre le drame de la saison écoulée. Bien sûr il y aura des départs pour pouvoir confier à l’entraineur un effectif composé de 25 joueurs.
Q- Le départ de Metouali et de Mouden a suscité une grande polémique. Qu’en dites-vous ?
R- A vrai dire, il s’agit de deux footballeurs de classe qui nous ont aidés à la « remontada » du maintien. Mais les circonstances ont décidé leur départ. Metouali a surpris le comité en décidant la résiliation de son contrat. Il a surpris aussi en déclarant qu’il avait renoncé à ses salaires et à ses primes. J’assume la responsabilité en disant que le club ne lui doit rien. Pour Mouden, c’est différent car il s’agit d’une personne avec un caractère difficile. Ses multiples caprices, nous les connaissons depuis l’an dernier. Après son retour d’Arabie Saoudite, il était très exigeant sur le plan financier. Il a trop demandé.
Q-Que pensez-vous du public tangérois ?
R-Sincèrement, je pense qu’il est le meilleur du Maroc. Je regrette infiniment son absence dans les rencontres que notre équipe dispute quand elle reçoit à huis clos. Le problème du terrain sera bientôt résolu.
Avec l’appui du Wali, le petit stade du village sportif Ziaten sera réaménagé pour que l’IRT reçoive ses adversaires devant 5000 spectateurs : remplacement du gazon synthétique par un gazon naturel, installation du grillage…avec bien sûr l’homologation de la FRMF.
Après un long silence incompréhensible, le président Mohamed Cherkaoui fait une brusque apparition pour parler à la presse. Mais cette fois-ci, loin des journalistes qu’il ne veut pas affronter pour des raisons inconnues, il répond à un jeu de questions-réponses, mais dans le site officiel du club en arabe :
Q- Où en est l’IRT à l’heure où vous êtes le plus souvent absent pour des raisons professionnelles ou politiques ?
R- L’IRT est sur la bonne voie puisque le projet de la saison écoulée connait sa continuité. Quant à mon absence, il est incompréhensible de la voir signalée dans les réseaux sociaux et j’ose dire qu’elle n’a aucune justification. Partout où je suis, je travaille pour l’IRT avec mes collègues du comité.
A vrai dire, je suis absent dans ma famille. La nuit, là où je suis, je n’arrive pas à dormir bien que ma santé nécessite huit heures de repos.
D’ailleurs avec la technique moderne, il est facile de gérer une formation professionnelle de football de n’importe quel lieu quand il y a les moyens financiers adéquats.
Q-Est-ce que ces moyens financiers existent ?
R- Le manque de moyens financiers est la grande polémique qui entrave la bonne marche de l’équipe. Il est bien dommage pour Tanger deuxième important pole économique du royaume qui n’a pas d’entreprises ou de riches volontaires pour sponsoriser l’un des deux représentants du football professionnel dans toute la Région Tanger-Tétouan-Al-Hoceima.
Q- Et le Wali ? Est-ce qu’il soutient le club ?
R- Il est le seul parrain de l’IRT. Comme tous les supporters le savent, Mohamed Mhidia a contribué au « miracle » du maintien de la formation en première division avec 80%. Le reste de 20% correspondait au travail du comité, du staff technique et des joueurs.
Grace aussi à lui, le début de la saison 23/24 parait très prometteur du fait que nos deux premiers matchs étaient disputés sans la participation des nouvelles recrues.
Maintenant la question que nous devons nous poser est la suivante : le Wali est-il obligé de soutenir et d’aider financièrement un club de football d’autant plus qu’il a d’autres occupations professionnelles plus importantes ? Bien sûr que non.
Q- Où en est l’histoire de la qualification des footballeurs récemment recrutés ?
R- Tous les joueurs sont qualifiés sauf Jaaidi, China et Masiké qui ont des problèmes d’ordre administratif et qui seront prêts pour la troisième journée du championnat.
Q-Le nombre de footballeurs à l’effectif a beaucoup augmenté. Qu’en pensez-vous ?
R- L’IRT est la deuxième équipe dans le monde à avoir effectué le plus grand nombre de nouvelles recrues après l’Arabie Saoudite. C’est la fierté pour nous. Nous ne voulons pas revivre le drame de la saison écoulée. Bien sûr il y aura des départs pour pouvoir confier à l’entraineur un effectif composé de 25 joueurs.
Q- Le départ de Metouali et de Mouden a suscité une grande polémique. Qu’en dites-vous ?
R- A vrai dire, il s’agit de deux footballeurs de classe qui nous ont aidés à la « remontada » du maintien. Mais les circonstances ont décidé leur départ. Metouali a surpris le comité en décidant la résiliation de son contrat. Il a surpris aussi en déclarant qu’il avait renoncé à ses salaires et à ses primes. J’assume la responsabilité en disant que le club ne lui doit rien. Pour Mouden, c’est différent car il s’agit d’une personne avec un caractère difficile. Ses multiples caprices, nous les connaissons depuis l’an dernier. Après son retour d’Arabie Saoudite, il était très exigeant sur le plan financier. Il a trop demandé.
Q-Que pensez-vous du public tangérois ?
R-Sincèrement, je pense qu’il est le meilleur du Maroc. Je regrette infiniment son absence dans les rencontres que notre équipe dispute quand elle reçoit à huis clos. Le problème du terrain sera bientôt résolu.
Avec l’appui du Wali, le petit stade du village sportif Ziaten sera réaménagé pour que l’IRT reçoive ses adversaires devant 5000 spectateurs : remplacement du gazon synthétique par un gazon naturel, installation du grillage…avec bien sûr l’homologation de la FRMF.
