Dans une déclaration à la MAP, Ould Errachid a indiqué que ce modèle a engendré une profonde transformation de la structure économique et sociale de l'ensemble des provinces du Sud, soulignant que le capital humain constitue l’axe central de cette dynamique, étant un acteur principal du développement régional.
De plus, il a indiqué que d’importantes ressources financières ont été mobilisées au niveau de la région pour la réalisation de projets structurants et d’infrastructures modernes, ayant permis une véritable mutation dans divers domaines.
Ould Errachid a rappelé que ce programme intégré, lancé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI en 2015 à l’occasion du 40e anniversaire de la Glorieuse Marche Verte, a permis l’édification d’un réseau d’infrastructures solide et équilibré dans les trois régions du Sud, leur permettant de jouer un rôle de pont entre l’Afrique et l’Europe.
Il a ajouté que, grâce à ce modèle de développement, la région a connu une transformation globale dont les citoyens perçoivent les effets concrets dans leur vie quotidienne, notant que le 10e anniversaire du lancement de ce vaste chantier national consacre une décennie d’action soutenue sur le terrain, ayant eu un impact positif sur la qualité de vie, les services et les infrastructures.
Le président du Conseil régional a également relevé que les provinces du Sud du Royaume regorgent aujourd’hui d’importantes potentialités économiques et de ressources humaines hautement qualifiées, ce qui en fait une destination attractive pour les investissements nationaux et étrangers et un espace favorable au développement du climat des affaires.
Par ailleurs, Ould Errachid a affirmé que la récente résolution onusienne sur la question du Sahara marocain, consacrant la pertinence de l’initiative marocaine d’autonomie, contribuera à renforcer la confiance des investisseurs dans les provinces du Sud, en tant que territoire propice à l’accueil de grands projets.
Et de conclure que l’élan de développement que connaissent les provinces du Sud s’inscrit pleinement dans la mise en œuvre de l’Initiative Royale Atlantique, un chantier stratégique visant à promouvoir le développement de l’espace atlantique africain et à consolider l’ouverture du Royaume sur son environnement.
De plus, il a indiqué que d’importantes ressources financières ont été mobilisées au niveau de la région pour la réalisation de projets structurants et d’infrastructures modernes, ayant permis une véritable mutation dans divers domaines.
Ould Errachid a rappelé que ce programme intégré, lancé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI en 2015 à l’occasion du 40e anniversaire de la Glorieuse Marche Verte, a permis l’édification d’un réseau d’infrastructures solide et équilibré dans les trois régions du Sud, leur permettant de jouer un rôle de pont entre l’Afrique et l’Europe.
Il a ajouté que, grâce à ce modèle de développement, la région a connu une transformation globale dont les citoyens perçoivent les effets concrets dans leur vie quotidienne, notant que le 10e anniversaire du lancement de ce vaste chantier national consacre une décennie d’action soutenue sur le terrain, ayant eu un impact positif sur la qualité de vie, les services et les infrastructures.
Le président du Conseil régional a également relevé que les provinces du Sud du Royaume regorgent aujourd’hui d’importantes potentialités économiques et de ressources humaines hautement qualifiées, ce qui en fait une destination attractive pour les investissements nationaux et étrangers et un espace favorable au développement du climat des affaires.
Par ailleurs, Ould Errachid a affirmé que la récente résolution onusienne sur la question du Sahara marocain, consacrant la pertinence de l’initiative marocaine d’autonomie, contribuera à renforcer la confiance des investisseurs dans les provinces du Sud, en tant que territoire propice à l’accueil de grands projets.
Et de conclure que l’élan de développement que connaissent les provinces du Sud s’inscrit pleinement dans la mise en œuvre de l’Initiative Royale Atlantique, un chantier stratégique visant à promouvoir le développement de l’espace atlantique africain et à consolider l’ouverture du Royaume sur son environnement.



















