Le think tank londonien Z/ Yen, en collaboration avec China Development Institut, vient de publier le 24 septembre, la 30ème édition de son indice de compétitivité des centres financiers à travers le monde. Il s’agit du « Global Financial Centers Index » (GFCI30) qui mesure la compétitivité des centres financiers, depuis 2005, en se basant sur plusieurs critères, notamment l’environnement des affaires, le capital humain, le développement du secteur financier, etc.
Leader en Afrique
Dans l’édition GFCI 30, Casablanca s’empare de la première position et de la 53ème place parmi les 116 centres financiers, et ce, avec 632 points, respectivement aux niveaux africain et mondial.
Quoiqu’elle figure dans le top 3 de ces centres dans la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord), Casablanca a chuté de 4 places par rapport au classement du GFCI29.
A ce sujet, les analystes de Z/Yen Group ont fait savoir que plus de la moitié des centres régionaux ont baissé dans le classement, précisant que Casablanca continue d’occuper la première place financière du continent africain ». Ils ont également noté que les centres sud-africains ont connu des fortes améliorations, précisant que Kigali et Lagos ont rejoint l’indice pour la première fois. Ainsi, la place casablancaise devance les villes de Cap Town, de Johannesburg, de Doha, etc., qui occupent chacune la 62ème, 64ème, 68ème position à l’échelle internationale.
Quid de la région MENA
Concernant la région MENA, Dubaï s’empare de la première place et de la 19ème mondialement avec 710 points, suivi par Abu Dhabi à la deuxième place et au 38ème rang par rapport aux autres pays du globe avec 675 points. Le Qatar est, quant à lui, classé 55ème au niveau mondial et 3ème dans le monde arabe avec 628 points.
Pour ce qui est des tops cinq centres financiers, New York a conservé sa première place dans l’indice suivi de Londres à la deuxième place, malgré le fait que les deux aient chuté légèrement dans le classement. Shanghai et Hong Kong se sont classés à la troisième et quatrième position, tandis que la cinquième place revient à Singapour.
Il convient de rappeler que le GFCI repose particulièrement sur deux sources de données. La première agrège et intègre 105 indices de compétitivité parmi lesquels ceux de la Banque Mondiale, du Forum économique mondial (WEF), de l’Organisation des Nations Unies (ONU) ou de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE). Le second est ainsi le résultat d’évaluations de professionnels internationaux de la finance qui doivent répondre à un questionnaire comparatif intégré évaluant les places entre elles.
Leader en Afrique
Dans l’édition GFCI 30, Casablanca s’empare de la première position et de la 53ème place parmi les 116 centres financiers, et ce, avec 632 points, respectivement aux niveaux africain et mondial.
Quoiqu’elle figure dans le top 3 de ces centres dans la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord), Casablanca a chuté de 4 places par rapport au classement du GFCI29.
A ce sujet, les analystes de Z/Yen Group ont fait savoir que plus de la moitié des centres régionaux ont baissé dans le classement, précisant que Casablanca continue d’occuper la première place financière du continent africain ». Ils ont également noté que les centres sud-africains ont connu des fortes améliorations, précisant que Kigali et Lagos ont rejoint l’indice pour la première fois. Ainsi, la place casablancaise devance les villes de Cap Town, de Johannesburg, de Doha, etc., qui occupent chacune la 62ème, 64ème, 68ème position à l’échelle internationale.
Quid de la région MENA
Concernant la région MENA, Dubaï s’empare de la première place et de la 19ème mondialement avec 710 points, suivi par Abu Dhabi à la deuxième place et au 38ème rang par rapport aux autres pays du globe avec 675 points. Le Qatar est, quant à lui, classé 55ème au niveau mondial et 3ème dans le monde arabe avec 628 points.
Pour ce qui est des tops cinq centres financiers, New York a conservé sa première place dans l’indice suivi de Londres à la deuxième place, malgré le fait que les deux aient chuté légèrement dans le classement. Shanghai et Hong Kong se sont classés à la troisième et quatrième position, tandis que la cinquième place revient à Singapour.
Il convient de rappeler que le GFCI repose particulièrement sur deux sources de données. La première agrège et intègre 105 indices de compétitivité parmi lesquels ceux de la Banque Mondiale, du Forum économique mondial (WEF), de l’Organisation des Nations Unies (ONU) ou de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE). Le second est ainsi le résultat d’évaluations de professionnels internationaux de la finance qui doivent répondre à un questionnaire comparatif intégré évaluant les places entre elles.
Siham MDIJI
CFC au service de l’avenir de l’Afrique
Casablanca Finance City (CFC) est au service de l’avenir du continent dans le contexte post-Covid-19. Cet engagement fut rappelé déjà à l’occasion de la Journée mondiale de l’Afrique lors de l’émission baptisée CFC Talks - Africa Day avec pour ambition de changer la perception qu’ont les investisseurs du continent, en proposant un regard positif sur les réalités africaines.
Elle visait à apporter également un éclairage nouveau sur les opportunités et défis de l’Afrique dans les domaines des infrastructures, de la transformation digitale et de la finance verte, et ce, dans un contexte post-Covid où la place financière du Maroc entend jouer a un rôle clé dans le déploiement des plans de redressement, de relance ou de sortie de crise des pays africains.