La CSPM dénonce, dans un communiqué, un « reniement des engagements » pris par la Tutelle, ainsi qu’une « ignorance persistante » des revendications légitimes des professionnels. Elle alerte également sur l’adoption de mesures susceptibles de déstabiliser le réseau national des pharmacies et de fragiliser l’ensemble du secteur. Selon la Confédération, ces évolutions constituent une menace directe pour la réussite du chantier royal de généralisation de la couverture médicale et pour l’accès équitable aux médicaments.
Après avoir, dit-elle, « épuisé toutes les voies de communication sérieuse » avec les autorités compétentes, la CSPM a décidé de lancer un programme de lutte graduelle.
Les premières actions annoncées sont le port d’un brassard noir par l’ensemble des pharmaciens du Royaume, du lundi 18 août au mardi 9 septembre 2025 et l’organisation d’un sit-in national devant le siège du ministère de la Santé à Rabat, le mardi 9 septembre 2025.
Le Conseil national appelle les pharmaciens, qu’ils exercent en milieu urbain ou rural, à une mobilisation « forte et unitaire ». Il tient le gouvernement et le ministère de la Santé « pleinement responsables » des conséquences de ce blocage, estimant que « porter atteinte à la stabilité du secteur pharmaceutique revient à menacer la sécurité médicamenteuse des Marocains ».
La Confédération prévient que d’autres initiatives suivront, afin de défendre « la dignité du pharmacien » et « le droit du patient à un service sûr, stable et équitable ».
Il y a près d’un mois, la CSPM avait déjà exprimé son rejet catégorique de la version actuelle du projet de décret présenté par le ministère, relatif à la procédure de fixation des prix des médicaments. La Confédération considère que ce texte représente un tournant dangereux dans le processus de réforme du système pharmaceutique national.
La Confédération a, par ailleurs, mis en garde contre les répercussions graves que ce projet pourrait avoir sur la stabilité du secteur officinal, notamment dans les zones fragiles, où de nombreuses pharmacies risquent la faillite.
Après avoir, dit-elle, « épuisé toutes les voies de communication sérieuse » avec les autorités compétentes, la CSPM a décidé de lancer un programme de lutte graduelle.
Les premières actions annoncées sont le port d’un brassard noir par l’ensemble des pharmaciens du Royaume, du lundi 18 août au mardi 9 septembre 2025 et l’organisation d’un sit-in national devant le siège du ministère de la Santé à Rabat, le mardi 9 septembre 2025.
Le Conseil national appelle les pharmaciens, qu’ils exercent en milieu urbain ou rural, à une mobilisation « forte et unitaire ». Il tient le gouvernement et le ministère de la Santé « pleinement responsables » des conséquences de ce blocage, estimant que « porter atteinte à la stabilité du secteur pharmaceutique revient à menacer la sécurité médicamenteuse des Marocains ».
La Confédération prévient que d’autres initiatives suivront, afin de défendre « la dignité du pharmacien » et « le droit du patient à un service sûr, stable et équitable ».
Il y a près d’un mois, la CSPM avait déjà exprimé son rejet catégorique de la version actuelle du projet de décret présenté par le ministère, relatif à la procédure de fixation des prix des médicaments. La Confédération considère que ce texte représente un tournant dangereux dans le processus de réforme du système pharmaceutique national.
La Confédération a, par ailleurs, mis en garde contre les répercussions graves que ce projet pourrait avoir sur la stabilité du secteur officinal, notamment dans les zones fragiles, où de nombreuses pharmacies risquent la faillite.