Selon le secrétaire d’Etat, 150.000 demandes d’aides au logement ont été déposées. Parmi les 90.000 dossiers éligibles, 48.000 ont jusqu’à présent bénéficié du programme.
Le Secrétaire d'Etat a fait savoir que 25% des bénéficiaires font partie des Marocains résidant à l’étranger (MRE). Selon lui, les membres de la classe moyenne représentent 62% des bénéficiaires qui se sont procuré des logements d’entre 300.000 et 700.000 DH. Les 38% des bénéficiaires restants ont obtenu de l’aide pour se procurer les logements de moins de 300.000 DH. Cette catégorie de bénéficiaires a droit, en outre, à la garantie des financements accordés par les banques et les fenêtres participatives dans le cadre du programme « FOGARIM ISKANE ».
Le secrétaire d'Etat a salué les efforts des partenariats qui ont, contribué au succès de ce programme, à savoir la Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG), la Direction Générale des Impôts et l’Agence Nationale de la Conservation Foncière, du Cadastre et de la Cartographie (ANCFCC). Grâce à ces accords, a poursuit M. Ben Brahim, il suffisait pour le demandeur de soumettre son numéro de CIN dans la plateforme ad hoc afin de savoir, dans un délai ne dépassant pas 7 jours, s’il est éligible au programme ou non.
Cela aurait selon lui garanti « une transparence » des démarches de la demande.
Le Secrétaire d'Etat a fait savoir que 25% des bénéficiaires font partie des Marocains résidant à l’étranger (MRE). Selon lui, les membres de la classe moyenne représentent 62% des bénéficiaires qui se sont procuré des logements d’entre 300.000 et 700.000 DH. Les 38% des bénéficiaires restants ont obtenu de l’aide pour se procurer les logements de moins de 300.000 DH. Cette catégorie de bénéficiaires a droit, en outre, à la garantie des financements accordés par les banques et les fenêtres participatives dans le cadre du programme « FOGARIM ISKANE ».
Le secrétaire d'Etat a salué les efforts des partenariats qui ont, contribué au succès de ce programme, à savoir la Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG), la Direction Générale des Impôts et l’Agence Nationale de la Conservation Foncière, du Cadastre et de la Cartographie (ANCFCC). Grâce à ces accords, a poursuit M. Ben Brahim, il suffisait pour le demandeur de soumettre son numéro de CIN dans la plateforme ad hoc afin de savoir, dans un délai ne dépassant pas 7 jours, s’il est éligible au programme ou non.
Cela aurait selon lui garanti « une transparence » des démarches de la demande.