
À cette occasion, le représentant permanent du Cameroun auprès de l’Office des Nations Unies à Genève, Salomon Eheth, a révélé, dans son allocution au nom des rapporteurs de l’examen (Cameroun, Malaisie et Argentine), des données relatives au rapport soumis par le Maroc à l’ONU, par le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, dans le cadre de cette 4ème session de l’EPU. En effet, plus de 120 personnes ont participé à ce débat, et 306 recommandations ont été présentées dans ce sens.
Au cours de cette session d’ampleur internationale, qui vient de baisser le rideau, le Maroc a exprimé toute sa satisfaction pour la tenue de cet événement et pour l’intérêt porté à ses réalisations, notamment dans le secteur des droits de l’Homme.
Dans ce sens, le secrétaire général de la Délégation Interministérielle aux Droits de l’Homme (DIDH), Abdelkarim Boujradi, a affirmé, lors de son allocution de clôture, que les questions soulevées dans le cadre de ce mécanisme trouveront place parmi de nombreux chantiers structurants lancés dans le Royaume, en vue de promouvoir les droits de l’Homme et, partant, contribuer à son édifice sociétal authentique, moderniste et solidaire.
Et d’ajouter que le Royaume œuvrera à partager, étudier et analyser les résultats du dialogue interactif avec les différents acteurs publics, notamment les recommandations qui en ont découlé, afin de permettre au Conseil des droits de l’Homme de tirer ses conclusions et observations concernant ces recommandations.
Abdelkarim Boujradi a de même affirmé la volonté du Maroc d’accorder l’intérêt nécessaire à l’échange et au partage entre les États dans le cadre de ce mécanisme de coopération, et de travailler davantage sur les résultats de ce cycle, en tant que pilier solide pour l’élaboration des politiques et programmes publics et la préparation des lois nationales.
La clôture de cet événement était également une occasion pour saluer la qualité, l’intérêt et la profondeur du débat, mais également l’importance particulière accordée au volet des droits de l’Homme. Le Maroc a réitéré la ferme volonté des pays de développer le caractère coopératif du mécanisme de l’EPU, une approche que le Royaume souhaite maintenir et préserver.
Il convient de noter que les trois examens périodiques universels concernant le Maroc ont eu lieu en avril 2008, mai 2012 et mai 2017 respectivement. L’examen se base essentiellement sur trois documents. Tout d’abord, le rapport national, ensuite, les données avancées dans les rapports d’experts indépendants en matière de droits de l’Homme et d’équipes connues par le nom de « procédures spéciales », aux côtés de ceux d’organes s’occupant des droits de l’Homme et d’autres organes tiers de l’ONU. Finalement, le dernier document se réfère aux données présentées par les institutions nationales des droits de l’Homme, les organisations régionales et les groupes de la société civile.
Cet événement a connu la participation d’une délégation marocaine conduite par le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, qui a affirmé, lors de l’ouverture de cette session, que la protection et la promotion des droits humains sont des choix « constants et irréversibles » pour le Royaume qui reflètent sa volonté de renforcer son adhésion aux mécanismes onusiens des droits de l’Homme. Le rapport national en question a porté sur plusieurs points, notamment la politique nationale dans la promotion des droits de l’Homme, les mécanismes nationaux consacrés à son approche en la matière, mais également les chantiers de réforme visant le renforcement de l’Etat de droit et de la justice et le renforcement du cadre juridique et institutionnel relatif à la protection de la liberté d’opinion et d’expression.
Au cours de cette session d’ampleur internationale, qui vient de baisser le rideau, le Maroc a exprimé toute sa satisfaction pour la tenue de cet événement et pour l’intérêt porté à ses réalisations, notamment dans le secteur des droits de l’Homme.
Dans ce sens, le secrétaire général de la Délégation Interministérielle aux Droits de l’Homme (DIDH), Abdelkarim Boujradi, a affirmé, lors de son allocution de clôture, que les questions soulevées dans le cadre de ce mécanisme trouveront place parmi de nombreux chantiers structurants lancés dans le Royaume, en vue de promouvoir les droits de l’Homme et, partant, contribuer à son édifice sociétal authentique, moderniste et solidaire.
Et d’ajouter que le Royaume œuvrera à partager, étudier et analyser les résultats du dialogue interactif avec les différents acteurs publics, notamment les recommandations qui en ont découlé, afin de permettre au Conseil des droits de l’Homme de tirer ses conclusions et observations concernant ces recommandations.
Abdelkarim Boujradi a de même affirmé la volonté du Maroc d’accorder l’intérêt nécessaire à l’échange et au partage entre les États dans le cadre de ce mécanisme de coopération, et de travailler davantage sur les résultats de ce cycle, en tant que pilier solide pour l’élaboration des politiques et programmes publics et la préparation des lois nationales.
La clôture de cet événement était également une occasion pour saluer la qualité, l’intérêt et la profondeur du débat, mais également l’importance particulière accordée au volet des droits de l’Homme. Le Maroc a réitéré la ferme volonté des pays de développer le caractère coopératif du mécanisme de l’EPU, une approche que le Royaume souhaite maintenir et préserver.
Il convient de noter que les trois examens périodiques universels concernant le Maroc ont eu lieu en avril 2008, mai 2012 et mai 2017 respectivement. L’examen se base essentiellement sur trois documents. Tout d’abord, le rapport national, ensuite, les données avancées dans les rapports d’experts indépendants en matière de droits de l’Homme et d’équipes connues par le nom de « procédures spéciales », aux côtés de ceux d’organes s’occupant des droits de l’Homme et d’autres organes tiers de l’ONU. Finalement, le dernier document se réfère aux données présentées par les institutions nationales des droits de l’Homme, les organisations régionales et les groupes de la société civile.
Cet événement a connu la participation d’une délégation marocaine conduite par le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, qui a affirmé, lors de l’ouverture de cette session, que la protection et la promotion des droits humains sont des choix « constants et irréversibles » pour le Royaume qui reflètent sa volonté de renforcer son adhésion aux mécanismes onusiens des droits de l’Homme. Le rapport national en question a porté sur plusieurs points, notamment la politique nationale dans la promotion des droits de l’Homme, les mécanismes nationaux consacrés à son approche en la matière, mais également les chantiers de réforme visant le renforcement de l’Etat de droit et de la justice et le renforcement du cadre juridique et institutionnel relatif à la protection de la liberté d’opinion et d’expression.