Dans une déclaration à la MAP, M. Sadiki a indiqué que ses entretiens avec les ministres de l'agriculture du Sud Soudan, du Burkina Faso, de la République centrafricaine, de Sao Tomé, de la Zambie et de la Somalie, ont été axés sur la coopération dans le domaine agricole et les moyens de tirer profit de l'expérience accumulée par le Maroc, notamment dans le cadre de la stratégie "Génération Green".
Les discussions ont également porté sur des thèmes se rapportant à l'adaptation au changement climatique, à la gestion de la pénurie d'eau par des techniques d'économie d'eau, à la modernisation des canaux et des systèmes d'irrigation, au choix des systèmes agricoles appropriés, au développement des chaînes de production, ainsi qu'à l'industrialisation et à la valorisation de la production agricole.
Les échanges ont aussi été l'occasion de présenter l'expérience marocaine en matière d'organisation des professionnels, notamment les petits producteurs et agriculteurs dans le cadre de coopératives, a-t-il dit, notant que les ministres africains ont exprimé le souhait de bénéficier de l'accompagnement du Maroc dans ce domaine, et de tirer profit de l'expertise nationale en matière de logistique, de commercialisation des produits agricoles et des industries agroalimentaires, d'attractivité des investisseurs dans le secteur agricole, et d'accompagnement des jeunes du monde rural pour renforcer leur intérêt pour le secteur.
Pour leur part, les ministres africains de l'agriculture ont exprimé, dans des déclarations similaires, le souhait de leurs pays de bénéficier de l'expérience marocaine dans les domaines de la gestion de l'eau, des engrais, des technologies modernes et de la formation professionnelle afin de renforcer la durabilité des systèmes agricoles dans leurs pays.
Ils ont, dans ce sens, fait part de leur admiration pour les grandes avancées réalisées par le Maroc dans le secteur agricole et pour les investissements importants opérés dans l'irrigation et la gestion de l'eau, ce qui a permis au Royaume d'augmenter la production agricole, de consolider sa sécurité alimentaire, et d'exporter des produits agricoles vers différents pays du monde.
Les ministres ont, par ailleurs, salué la bonne organisation de la 33ème session de la Conférence régionale de la FAO pour l'Afrique, soulignant que leurs entretiens avec les responsables marocains ont été l'occasion d'échanger autour des meilleures pratiques dans le domaine de l'agriculture en général.
Organisée sous l'égide du Maroc sous le thème "Systèmes agroalimentaires résilients et transformation rurale inclusive", cette conférence de trois jours a été l'occasion pour les pays africains de discuter des solutions pratiques et concrètes pour la sécurité alimentaire et l'amélioration de la production agricole et de définir les priorités avec la FAO pour les deux prochaines années, dans le but de réaliser un changement transformateur et durable dans les systèmes agroalimentaires à travers le continent.
Cette rencontre régionale stratégique axée sur la sécurité alimentaire et le développement rural en Afrique, ont connu la participation de ministres des États membres africains, de représentants des pays observateurs, de l'Union Africaine, des organisations donatrices, de la société civile et du secteur privé.
Les discussions ont également porté sur des thèmes se rapportant à l'adaptation au changement climatique, à la gestion de la pénurie d'eau par des techniques d'économie d'eau, à la modernisation des canaux et des systèmes d'irrigation, au choix des systèmes agricoles appropriés, au développement des chaînes de production, ainsi qu'à l'industrialisation et à la valorisation de la production agricole.
Les échanges ont aussi été l'occasion de présenter l'expérience marocaine en matière d'organisation des professionnels, notamment les petits producteurs et agriculteurs dans le cadre de coopératives, a-t-il dit, notant que les ministres africains ont exprimé le souhait de bénéficier de l'accompagnement du Maroc dans ce domaine, et de tirer profit de l'expertise nationale en matière de logistique, de commercialisation des produits agricoles et des industries agroalimentaires, d'attractivité des investisseurs dans le secteur agricole, et d'accompagnement des jeunes du monde rural pour renforcer leur intérêt pour le secteur.
Pour leur part, les ministres africains de l'agriculture ont exprimé, dans des déclarations similaires, le souhait de leurs pays de bénéficier de l'expérience marocaine dans les domaines de la gestion de l'eau, des engrais, des technologies modernes et de la formation professionnelle afin de renforcer la durabilité des systèmes agricoles dans leurs pays.
Ils ont, dans ce sens, fait part de leur admiration pour les grandes avancées réalisées par le Maroc dans le secteur agricole et pour les investissements importants opérés dans l'irrigation et la gestion de l'eau, ce qui a permis au Royaume d'augmenter la production agricole, de consolider sa sécurité alimentaire, et d'exporter des produits agricoles vers différents pays du monde.
Les ministres ont, par ailleurs, salué la bonne organisation de la 33ème session de la Conférence régionale de la FAO pour l'Afrique, soulignant que leurs entretiens avec les responsables marocains ont été l'occasion d'échanger autour des meilleures pratiques dans le domaine de l'agriculture en général.
Organisée sous l'égide du Maroc sous le thème "Systèmes agroalimentaires résilients et transformation rurale inclusive", cette conférence de trois jours a été l'occasion pour les pays africains de discuter des solutions pratiques et concrètes pour la sécurité alimentaire et l'amélioration de la production agricole et de définir les priorités avec la FAO pour les deux prochaines années, dans le but de réaliser un changement transformateur et durable dans les systèmes agroalimentaires à travers le continent.
Cette rencontre régionale stratégique axée sur la sécurité alimentaire et le développement rural en Afrique, ont connu la participation de ministres des États membres africains, de représentants des pays observateurs, de l'Union Africaine, des organisations donatrices, de la société civile et du secteur privé.