Casablanca-Settat confirme son statut de moteur économique du pays, avec une contribution de 32,2 % au PIB, soit près d’un tiers de la richesse nationale. Elle est suivie par Rabat-Salé-Kénitra, qui enregistre une part de 15,7 %, et par Tanger-Tétouan-Al Hoceïma, dont la contribution atteint 10,6 %.
Cette répartition témoigne d’un déséquilibre structurel persistant entre les territoires, posant à nouveau la question de l’équité régionale et de la cohésion économique nationale.
Cette répartition témoigne d’un déséquilibre structurel persistant entre les territoires, posant à nouveau la question de l’équité régionale et de la cohésion économique nationale.
Mohamed LOKHNATI