Modérée par Mohammed Sahabi, vice-président de l’Université Chouaib Doukkali, la rencontre a réuni des acteurs clés du secteur agricole, parmi lesquels Mahmoud Badiss, représentant du ministère de l’Agriculture, Abdelkrim Filali Maltouf (Université Mohammed V, Rabat), Kamal Lebbasi (Université Chouaib Doukkali), Rachid Mrabet (INRA), ainsi que Nawfal Roudies et Faissal Sehbaoui, dirigeants du Groupe OCP.
Au cœur des échanges : l’impératif de réinventer les modèles de production agricole pour faire face à l’épuisement des ressources et à l’urgence climatique. Loin des discours incantatoires, les intervenants ont plaidé pour une agriculture de précision, fondée sur une gestion intelligente de l’eau, l’adoption généralisée de l’irrigation goutte-à-goutte, l’analyse en temps réel des besoins des cultures, et l’optimisation des intrants grâce aux technologies numériques.
Mais au-delà des solutions techniques, c’est une vision systémique qui a été défendue : celle d’une transition agraire intégrant pratiques agroécologiques, revalorisation des sols, gestion concertée des bassins versants et préservation des nappes phréatiques. Une transformation qui ne pourra aboutir sans une large mobilisation du monde agricole, à travers la formation, l’accompagnement et l’accès à l’innovation.
Les échanges ont mis en lumière une conviction partagée : en conjuguant traditions agricoles séculaires et technologies de pointe, le Maroc dispose des atouts nécessaires pour bâtir un modèle agricole résilient, capable d’assurer la sécurité alimentaire tout en préservant ses ressources naturelles.
Au cœur des échanges : l’impératif de réinventer les modèles de production agricole pour faire face à l’épuisement des ressources et à l’urgence climatique. Loin des discours incantatoires, les intervenants ont plaidé pour une agriculture de précision, fondée sur une gestion intelligente de l’eau, l’adoption généralisée de l’irrigation goutte-à-goutte, l’analyse en temps réel des besoins des cultures, et l’optimisation des intrants grâce aux technologies numériques.
Mais au-delà des solutions techniques, c’est une vision systémique qui a été défendue : celle d’une transition agraire intégrant pratiques agroécologiques, revalorisation des sols, gestion concertée des bassins versants et préservation des nappes phréatiques. Une transformation qui ne pourra aboutir sans une large mobilisation du monde agricole, à travers la formation, l’accompagnement et l’accès à l’innovation.
Les échanges ont mis en lumière une conviction partagée : en conjuguant traditions agricoles séculaires et technologies de pointe, le Maroc dispose des atouts nécessaires pour bâtir un modèle agricole résilient, capable d’assurer la sécurité alimentaire tout en préservant ses ressources naturelles.