La signature de ce mémorandum a eu lieu lors d’une réunion de haut niveau présidée par les présidents de l’INPPLC, Mohamed Benalilou, et de l’Autorité émiratie de reddition des comptes, Humaid Obaid Khalifa Oubaid Abu Shabas, en présence de responsables et d’experts des deux institutions.
Selon un communiqué de l’INPPLC, l’accord vise à institutionnaliser la coopération et l’échange d’expériences et de bonnes pratiques entre les deux institutions dans le respect de leurs législations nationales ainsi qu’à mettre en œuvre les dispositions de la Convention des Nations unies contre la corruption et de la Déclaration de la 8e Conférence des États parties sur le renforcement de la coopération entre les institutions supérieures de contrôle des finances publiques et les organes de lutte contre la corruption.
Ce mémorandum témoigne de la profondeur des relations distinguées unissant le Maroc et les Émirats Arabes Unis comme il reflète la volonté commune de renforcer la coopération institutionnelle et l’échange d’expériences réussies en matière de promotion de la probité, de protection des deniers publics et de renforcement des fondements de la bonne gouvernance au sein des deux institutions, conclut-on.
Selon un communiqué de l’INPPLC, l’accord vise à institutionnaliser la coopération et l’échange d’expériences et de bonnes pratiques entre les deux institutions dans le respect de leurs législations nationales ainsi qu’à mettre en œuvre les dispositions de la Convention des Nations unies contre la corruption et de la Déclaration de la 8e Conférence des États parties sur le renforcement de la coopération entre les institutions supérieures de contrôle des finances publiques et les organes de lutte contre la corruption.
Ce mémorandum témoigne de la profondeur des relations distinguées unissant le Maroc et les Émirats Arabes Unis comme il reflète la volonté commune de renforcer la coopération institutionnelle et l’échange d’expériences réussies en matière de promotion de la probité, de protection des deniers publics et de renforcement des fondements de la bonne gouvernance au sein des deux institutions, conclut-on.



















