Intervenant lors d'une réunion de la Commission du contrôle des finances publiques et de la gouvernance, tenue sous le thème "Le retard enregistré dans la mise en œuvre d'une réforme globale et intégrée du secteur des EEP", M. Zaghnoun a évoqué, à cet effet, les Hautes Orientations Royales appelant à initier une réforme profonde pour améliorer la performance des EEP, condition essentielle à la relance économique et à la mise en place d'un nouveau contrat social.
Le DG de l'ANGSPE a aussi rappelé les recommandations de la Commission spéciale sur le modèle de développement soulignant la nécessité de consolider la place des entreprises publiques, compte tenu de leur rôle structurant dans certains secteurs stratégiques liés à la compétitivité, ainsi que de leur capacité à dynamiser les écosystèmes économiques sectoriels et territoriaux et ce, à travers la réforme de la politique actionnariale de l'Etat.
M. Zaghnoun a noté que les objectifs de cette réforme consistent notamment à mettre en œuvre un programme ambitieux de restructuration, à établir un cadre légal permettant de rationaliser la création d’EEP, à améliorer leur gouvernance, à renforcer la coordination et la complémentarité entre ces entités, et à instaurer une évaluation périodique pour s'assurer de la pertinence des missions qui leur sont confiées ou des activités exercées.
Il s'agit aussi de la révision du contrôle financier de l'Etat appliqué aux EEP, en vue d'une approche axée principalement sur l’évaluation de la performance, la gouvernance et la gestion des risques, a-t-il ajouté.
Dans ce sens, M. Zaghnoun a fait savoir que l'ANGSPE est chargée notamment d'assister les autorités publiques dans la gestion du portefeuille des EEP, dans l'évaluation et le suivi de leur performance, ainsi que dans l'amélioration de leur gouvernance.
Le champ d'intervention de l'Agence, a-t-il précisé, couvre 15 établissements publics, 35 entreprises publiques à participation directe de l'Etat et 7 participations détenues directement ou conjointement par l'Etat ou les EEP, représentant des enjeux sociaux, économiques et financiers majeurs pour l'Etat actionnaire.
Pour ce qui est des perspectives, le DG de l'ANGSPE a souligné qu'il sera question de poursuivre les efforts engagés en vue de réussir les chantiers de réforme du secteur des EEP, de relever les défis actuels et futurs, et de mettre en œuvre la politique de participation de l'Etat à travers un dispositif de communication comprenant des mesures ciblées à destination des EEP et des ministères de tutelle.
M. Zaghnoun a également insisté sur la classification des missions ou activités afin d'en évaluer la pertinence, l'identification des besoins en matière de convergence stratégique entre chaque EEP et les orientations et axes définis par la politique de participation de l'Etat, ainsi que sur le renforcement de la gouvernance de ces entités et l'institutionnalisation des bonnes pratiques.
Le DG de l'ANGSPE a aussi rappelé les recommandations de la Commission spéciale sur le modèle de développement soulignant la nécessité de consolider la place des entreprises publiques, compte tenu de leur rôle structurant dans certains secteurs stratégiques liés à la compétitivité, ainsi que de leur capacité à dynamiser les écosystèmes économiques sectoriels et territoriaux et ce, à travers la réforme de la politique actionnariale de l'Etat.
M. Zaghnoun a noté que les objectifs de cette réforme consistent notamment à mettre en œuvre un programme ambitieux de restructuration, à établir un cadre légal permettant de rationaliser la création d’EEP, à améliorer leur gouvernance, à renforcer la coordination et la complémentarité entre ces entités, et à instaurer une évaluation périodique pour s'assurer de la pertinence des missions qui leur sont confiées ou des activités exercées.
Il s'agit aussi de la révision du contrôle financier de l'Etat appliqué aux EEP, en vue d'une approche axée principalement sur l’évaluation de la performance, la gouvernance et la gestion des risques, a-t-il ajouté.
Dans ce sens, M. Zaghnoun a fait savoir que l'ANGSPE est chargée notamment d'assister les autorités publiques dans la gestion du portefeuille des EEP, dans l'évaluation et le suivi de leur performance, ainsi que dans l'amélioration de leur gouvernance.
Le champ d'intervention de l'Agence, a-t-il précisé, couvre 15 établissements publics, 35 entreprises publiques à participation directe de l'Etat et 7 participations détenues directement ou conjointement par l'Etat ou les EEP, représentant des enjeux sociaux, économiques et financiers majeurs pour l'Etat actionnaire.
Pour ce qui est des perspectives, le DG de l'ANGSPE a souligné qu'il sera question de poursuivre les efforts engagés en vue de réussir les chantiers de réforme du secteur des EEP, de relever les défis actuels et futurs, et de mettre en œuvre la politique de participation de l'Etat à travers un dispositif de communication comprenant des mesures ciblées à destination des EEP et des ministères de tutelle.
M. Zaghnoun a également insisté sur la classification des missions ou activités afin d'en évaluer la pertinence, l'identification des besoins en matière de convergence stratégique entre chaque EEP et les orientations et axes définis par la politique de participation de l'Etat, ainsi que sur le renforcement de la gouvernance de ces entités et l'institutionnalisation des bonnes pratiques.