Intervenant lors de la séance des questions orales à la Chambre des représentants, le lundi 23 juin, le ministre a expliqué que cette volatilité tarifaire s’inscrit dans le cadre de la « loi du marché », découlant directement de la libéralisation de l’espace aérien. Il a rappelé que le Maroc a fait, dès 2006, le choix stratégique d’une politique de ciel ouvert, qui a permis à plus de 50 compagnies aériennes, y compris des transporteurs low cost, d’opérer sur le marché national.
Ces compagnies, a-t-il précisé, fixent leurs tarifs selon les règles de l’offre et de la demande, ce qui rend inévitable la flambée des prix en période de forte affluence, comme l’été. « Les compagnies cherchent à équilibrer leurs revenus entre les périodes creuses et les périodes de pointe. On ne peut pas les contraindre à baisser les prix durant les mois d'été », a-t-il déclaré.
Le ministre a également rappelé que le moment de la réservation influence considérablement le prix des billets, soulignant que plus le départ approche, plus les tarifs augmentent. Il a ainsi invité les citoyens à anticiper leurs réservations pour bénéficier des meilleures offres.
Dans le but de répondre à la forte demande estivale, le ministère s’attèle à renforcer l’offre aérienne. À cet effet, 59 compagnies ont été autorisées à opérer plus de 2 500 vols hebdomadaires vers 141 aéroports internationaux. Par ailleurs, Royal Air Maroc a annoncé, il y a quelques jours, le renforcement de sa flotte par quatre avions supplémentaires pour la saison estivale, portant son offre à 6,6 millions de sièges, soit 700 000 de plus qu’en 2024.
Cette stratégie s’inscrit dans une vision à long terme visant à moderniser la flotte nationale et à améliorer la connectivité du Maroc.
Un nouvel accord d’acquisition d’appareils modernes, incluant des modèles de Boeing et d’Airbus, a été conclu, dans le cadre d’un programme de développement s’étendant à l’horizon 2030, avec pour ambition de renforcer la compétitivité du Royaume dans le domaine du transport aérien.
Ces compagnies, a-t-il précisé, fixent leurs tarifs selon les règles de l’offre et de la demande, ce qui rend inévitable la flambée des prix en période de forte affluence, comme l’été. « Les compagnies cherchent à équilibrer leurs revenus entre les périodes creuses et les périodes de pointe. On ne peut pas les contraindre à baisser les prix durant les mois d'été », a-t-il déclaré.
Le ministre a également rappelé que le moment de la réservation influence considérablement le prix des billets, soulignant que plus le départ approche, plus les tarifs augmentent. Il a ainsi invité les citoyens à anticiper leurs réservations pour bénéficier des meilleures offres.
Dans le but de répondre à la forte demande estivale, le ministère s’attèle à renforcer l’offre aérienne. À cet effet, 59 compagnies ont été autorisées à opérer plus de 2 500 vols hebdomadaires vers 141 aéroports internationaux. Par ailleurs, Royal Air Maroc a annoncé, il y a quelques jours, le renforcement de sa flotte par quatre avions supplémentaires pour la saison estivale, portant son offre à 6,6 millions de sièges, soit 700 000 de plus qu’en 2024.
Cette stratégie s’inscrit dans une vision à long terme visant à moderniser la flotte nationale et à améliorer la connectivité du Maroc.
Un nouvel accord d’acquisition d’appareils modernes, incluant des modèles de Boeing et d’Airbus, a été conclu, dans le cadre d’un programme de développement s’étendant à l’horizon 2030, avec pour ambition de renforcer la compétitivité du Royaume dans le domaine du transport aérien.