Le Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE) envisage de se pencher sur de nouvelles thématiques afin de s’ouvrir davantage sur le grand public, c’est du moins ce qui ressort des déclarations de son président Ahmed Reda Chami, lors de la présentation de son budget sectoriel en commission, vendredi dernier, à la Chambre des représentants.
S’adressant aux représentants de la nation, Ahmed Reda Chami a expliqué que le CESE prévoit de réaliser des avis, études et recherches sur le harcèlement sexuel en milieu universitaire, la santé mentale, la prise en charge des patients dans le système des urgences, la réforme du processus d’octroi des permis d’exploitation des ressources naturelles, ou alors l’économie du sport.
Le Conseil continuera également à étudier des réformes qui à la fois « mettront le service public au service du développement territorial pour un développement urbain durable du littoral marocain », « valoriseront le capital humain dans les secteurs public et privé », et « veilleront au transfert de compétences et de connaissances au sein des institutions », a souligné M. Chami.
Vers la création d’une plateforme digitale
Outre cela, il a fait savoir qu’une plateforme numérique sera mise en place pour collecter des propositions et recommandations des citoyens, soulignant la nécessité d’une nouvelle base de données regroupant l’ensemble des rapports et avis du Conseil. En d’autres termes, ledit Conseil vise à travers cette plateforme d’écouter les besoins, les attentes et les aspirations du citoyen et de les prendre en considération lors de l’élaboration de son rapport annuel, a expliqué le président, tout en précisant que les premières contributions seront collectées dans le cadre du prochain avis sur le harcèlement sexuel dans l’espace universitaire. Une thématique qui a été mise en lumière par Naïma Benwakrim, spécialiste dans les questions de genre, lors de la session hebdomadaire du programme « Mardis du PCNS ».
La spécialiste a, en outre, expliqué que les manifestations de la violence basée sur le genre observées en milieu universitaire ne diffèrent pas de celles constatées dans l’espace public. « La différence se limite à l’absence de données précises qui permettraient de procéder à un examen approfondi de ce sujet », a-t-elle fait savoir, évoquant les résultats d’enquêtes limitées à certaines universités qui indiquent que l’espace universitaire procure un sentiment de liberté et de sécurité aux étudiantes, au vu des conditions dans lesquelles ces établissements sont administrés, et des niveaux d’éducation et de conscience qui y règnent.
S’adressant aux représentants de la nation, Ahmed Reda Chami a expliqué que le CESE prévoit de réaliser des avis, études et recherches sur le harcèlement sexuel en milieu universitaire, la santé mentale, la prise en charge des patients dans le système des urgences, la réforme du processus d’octroi des permis d’exploitation des ressources naturelles, ou alors l’économie du sport.
Le Conseil continuera également à étudier des réformes qui à la fois « mettront le service public au service du développement territorial pour un développement urbain durable du littoral marocain », « valoriseront le capital humain dans les secteurs public et privé », et « veilleront au transfert de compétences et de connaissances au sein des institutions », a souligné M. Chami.
Vers la création d’une plateforme digitale
Outre cela, il a fait savoir qu’une plateforme numérique sera mise en place pour collecter des propositions et recommandations des citoyens, soulignant la nécessité d’une nouvelle base de données regroupant l’ensemble des rapports et avis du Conseil. En d’autres termes, ledit Conseil vise à travers cette plateforme d’écouter les besoins, les attentes et les aspirations du citoyen et de les prendre en considération lors de l’élaboration de son rapport annuel, a expliqué le président, tout en précisant que les premières contributions seront collectées dans le cadre du prochain avis sur le harcèlement sexuel dans l’espace universitaire. Une thématique qui a été mise en lumière par Naïma Benwakrim, spécialiste dans les questions de genre, lors de la session hebdomadaire du programme « Mardis du PCNS ».
La spécialiste a, en outre, expliqué que les manifestations de la violence basée sur le genre observées en milieu universitaire ne diffèrent pas de celles constatées dans l’espace public. « La différence se limite à l’absence de données précises qui permettraient de procéder à un examen approfondi de ce sujet », a-t-elle fait savoir, évoquant les résultats d’enquêtes limitées à certaines universités qui indiquent que l’espace universitaire procure un sentiment de liberté et de sécurité aux étudiantes, au vu des conditions dans lesquelles ces établissements sont administrés, et des niveaux d’éducation et de conscience qui y règnent.
Siham MDIJI