Le praticien estime qu’au vu de l’évolution des derniers chiffres, une nouvelle vague et par conséquent un nouveau confinement ne sont pas exclus. « On constate que de plus en plus de jeunes sont touchés par le virus et risquent de développer des formes graves de la maladie. Cela nous a poussés à élargir la base de la vaccination ».
En effet, le Royaume vient d’étendre l’accès au vaccin aux vingtenaires. « Nous avons la chance au Maroc d’avoir été, grâce aux instructions royales, parmi les premiers pays à accéder à la vaccination. Aujourd’hui, nous avons pu atteindre 34% de la population ciblée », explique Dr Afif.
Le membre du Comité scientifique du suivi de la vaccination tient à rappeler qu’il y a deux moyens de se protéger contre le virus : le vaccin et les gestes barrières. « Encore une fois, l’Etat a fait un énorme effort. Grâce à l’intervention de Sa Majesté, on peut se féliciter d’avoir pu démarrer la vaccination à un moment opportun et d’avoir eu suffisamment de doses pour mener à bien cette opération ».
La relance de l’économie, tout en maîtrisant la crise sanitaire, semble un pari difficile, mais qui n’est pas impossible, estime Dr Afif. « La reprise de l’économie dépend de l’évolution de l’épidémie, laquelle dépend de nous et de nos comportements. A nous de choisir ». En effet, si on veut que tous les secteurs maintiennent leurs activités, ce qui suppose une vie décente pour tout un chacun, il faut être un minimum responsable. Cela pourrait nous éviter un nouveau confinement et tout ce que cela implique comme répercussions.
En effet, le Royaume vient d’étendre l’accès au vaccin aux vingtenaires. « Nous avons la chance au Maroc d’avoir été, grâce aux instructions royales, parmi les premiers pays à accéder à la vaccination. Aujourd’hui, nous avons pu atteindre 34% de la population ciblée », explique Dr Afif.
Le membre du Comité scientifique du suivi de la vaccination tient à rappeler qu’il y a deux moyens de se protéger contre le virus : le vaccin et les gestes barrières. « Encore une fois, l’Etat a fait un énorme effort. Grâce à l’intervention de Sa Majesté, on peut se féliciter d’avoir pu démarrer la vaccination à un moment opportun et d’avoir eu suffisamment de doses pour mener à bien cette opération ».
La relance de l’économie, tout en maîtrisant la crise sanitaire, semble un pari difficile, mais qui n’est pas impossible, estime Dr Afif. « La reprise de l’économie dépend de l’évolution de l’épidémie, laquelle dépend de nous et de nos comportements. A nous de choisir ». En effet, si on veut que tous les secteurs maintiennent leurs activités, ce qui suppose une vie décente pour tout un chacun, il faut être un minimum responsable. Cela pourrait nous éviter un nouveau confinement et tout ce que cela implique comme répercussions.
L. O.
