A la tête d’une forte délégation, Salimi Nasreddine, président de l’Union Syndicale Africaine, a conduit récemment une forte délégation en Guinée dans le but de consolider les liens des différentes centrales de ce pays avec l’instance qui regroupe les syndicats du continent. Un périple qui a été couronné de succès puisque d’autres organisations syndicales guinéennes ont adhéré au nouveau mouvement panafricain. Le nombre de syndicats membres atteint désormais 22 contre 18, il y a encore quelques mois.
Dans la capitale guinéenne, Conakry, la délégation de l’USA a eu des rencontres avec plusieurs institutions de la République sans oublier les séances de travail avec ses homologues syndiqués. Au terme des différents entretiens, les participants ont expliqué les valeurs du syndicalisme africain et singulièrement celui guinéen.
Selon le président de l’USA, le mouvement syndical guinéen joue un rôle capital dans la défense des intérêts des travailleurs, en dépit des menaces qui pèsent sur certains responsables syndicaux. D’où il n’a pas manqué de solliciter l’adhésion des uns et des autres afin d’apporter du sang neuf pour la redynamisation des forces sociales en Afrique.
Rappelons que l’USA entend devenir un acteur incontournable sur l’échiquier panafricain. Dans cette optique, elle va soutenir les programmes d’éducation et de renforcement des capacités. Le principe de l’USA s’organise autour des besoins tangibles des travailleurs à travers le monde tout en agissant pour faire naître l’espoir, et redonner de l’espoir à ceux qui sont peut-être en train de sombrer dans le doute et la paupérisation.
En outre, elle travaille pour la valorisation des salaires qui soit en adéquation avec les compétences croissantes des travailleurs sans oublier la lutte contre la croissance continue de l’emploi précaire sous toutes ses formes, y compris le faux travail indépendant tout en revendiquant une vie meilleure pour les travailleurs, leurs familles et leurs communautés.
Enfin, cette nouvelle structure, qui se veut panafricaine, présidée par le Marocain, Salihi Nasredine, également à la tête de la Force Syndicale, est née de la volonté d’un groupe de pays à savoir : le Maroc, la Côte d’Ivoire, le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Conakry et le Sénégal.
Dans la capitale guinéenne, Conakry, la délégation de l’USA a eu des rencontres avec plusieurs institutions de la République sans oublier les séances de travail avec ses homologues syndiqués. Au terme des différents entretiens, les participants ont expliqué les valeurs du syndicalisme africain et singulièrement celui guinéen.
Selon le président de l’USA, le mouvement syndical guinéen joue un rôle capital dans la défense des intérêts des travailleurs, en dépit des menaces qui pèsent sur certains responsables syndicaux. D’où il n’a pas manqué de solliciter l’adhésion des uns et des autres afin d’apporter du sang neuf pour la redynamisation des forces sociales en Afrique.
Rappelons que l’USA entend devenir un acteur incontournable sur l’échiquier panafricain. Dans cette optique, elle va soutenir les programmes d’éducation et de renforcement des capacités. Le principe de l’USA s’organise autour des besoins tangibles des travailleurs à travers le monde tout en agissant pour faire naître l’espoir, et redonner de l’espoir à ceux qui sont peut-être en train de sombrer dans le doute et la paupérisation.
En outre, elle travaille pour la valorisation des salaires qui soit en adéquation avec les compétences croissantes des travailleurs sans oublier la lutte contre la croissance continue de l’emploi précaire sous toutes ses formes, y compris le faux travail indépendant tout en revendiquant une vie meilleure pour les travailleurs, leurs familles et leurs communautés.
Enfin, cette nouvelle structure, qui se veut panafricaine, présidée par le Marocain, Salihi Nasredine, également à la tête de la Force Syndicale, est née de la volonté d’un groupe de pays à savoir : le Maroc, la Côte d’Ivoire, le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Conakry et le Sénégal.