Des scènes d’euphorie et d’exubérance jamais égalées dans les annales de l’Histoire du football marocain, une qualification en demi-finale au retentissement mondial, des leçons de self-confidence et de self-esteem devant lesquelles font pâle figure les maîtres des arts martiaux les plus attitrés et un patriotisme de bon aloi jamais aussi bien plébiscité. Sans nul conteste, ces attributs collent à merveille aux poulains de Regragui qui ont eu le glorieux mérite d’emplir de frénésie, de fierté et de liesse une nation friande de pareils triomphes.
Eu égard aux prouesses mondialement encensées des attaquants, des milieux de terrain et des défenseurs de l’équipe nationale, lors de tous les matchs de la Coupe du Monde au Qatar, plusieurs générations seront en droit de se targuer d’appartenir à un peuple qui a crié à l’unisson et à tue-tête un «siiiiiir» qui a transpercé, pendant de longues et glorieuses semaines, le mur du son.
De même, les Lions de l’Atlas ont fait preuve d’un dévouement sublime à tous points de vue, car avant d’affronter les Coqs, ils ont eu dans les pieds les 5 matchs les plus complexes de la Qatar World Cup.
Mais la fête n’est pas encore arrivée à terme, pour autant, car l’équipe marocaine n’a pas plié bagage ni pris, bredouille, le premier avion de retour. Elle a, bien au contraire, fait illustrer le Maroc dans le livre d’or de la FIFA et donné un inoubliable motif de fierté à ses supporters nationaux et internationaux.
Cela étant, cette défaite n’a de défaite que le nom. Le sentiment, l’espoir, l’esprit d’équipe et la joie inouïe de voir étaler ce potentiel prodigieux des nouveaux ambassadeurs de l’étendard bicolore, ont tout l’air d’une victoire méritoire et jubilatoire.
Eu égard aux prouesses mondialement encensées des attaquants, des milieux de terrain et des défenseurs de l’équipe nationale, lors de tous les matchs de la Coupe du Monde au Qatar, plusieurs générations seront en droit de se targuer d’appartenir à un peuple qui a crié à l’unisson et à tue-tête un «siiiiiir» qui a transpercé, pendant de longues et glorieuses semaines, le mur du son.
De même, les Lions de l’Atlas ont fait preuve d’un dévouement sublime à tous points de vue, car avant d’affronter les Coqs, ils ont eu dans les pieds les 5 matchs les plus complexes de la Qatar World Cup.
Mais la fête n’est pas encore arrivée à terme, pour autant, car l’équipe marocaine n’a pas plié bagage ni pris, bredouille, le premier avion de retour. Elle a, bien au contraire, fait illustrer le Maroc dans le livre d’or de la FIFA et donné un inoubliable motif de fierté à ses supporters nationaux et internationaux.
Cela étant, cette défaite n’a de défaite que le nom. Le sentiment, l’espoir, l’esprit d’équipe et la joie inouïe de voir étaler ce potentiel prodigieux des nouveaux ambassadeurs de l’étendard bicolore, ont tout l’air d’une victoire méritoire et jubilatoire.
Houda BELABD
