Le recueil de nouvelles est un témoignage d’un ensemble d’histoires, chacune définit l’amour différemment. Ce sentiment universel qui, malgré sa complexité, reste le moteur de l’humanité et la raison d’être de tout individu. Il est certain que nous pouvons ressentir du bonheur et de la puissance grâce à l’amour. Spinoza confirme que « l’amour est désir, mais le désir est puissance ».
Être heureux c’est avoir ce qu’on désire, c’est peut-être la même vision d’un grand nombre d’hommes et de beaucoup de femmes envers l’amour. Cette idée se traduit dans la deuxième nouvelle « Sourire ». Deux villageois s’aimaient, ils étaient dans un état d’ivresse émotionnelle, dans une homogénéité extrême, leurs deux corps étaient devenus un seul.
Pendant dix ans, puisqu’ils ont franchi l’interdit, ces deux créatures amoureuses étaient en proie à la douleur. La huitième et la dernière nouvelle est racontée au féminin. La protagoniste témoigne en détail de ce que subit une femme qui aime. Après son avortement, elle est toute seule, délaissée dans une obscurité. Celui qui lui a promis un paradis sur terre renonce à elle.
Sa famille la rejette, la société la criminalise. C’est choquant, mais c’est bien la réalité, l’amour peut être source d’amertume et d’angoisse. Ces huit récits littéraires, ont bien joué le rôle de stimuler les pensées des lecteurs, les inviter à construire leurs propres définitions de l’amour.
Pour finir, aimer c’est vivre des « Amours » décevantes ou passionnantes, qui resteront archivées dans des coins de notre mémoire, mais elles font certainement partie de nous et de notre histoire en tant qu’entité de ce monde. L’amour est énigmatique et difficilement explicable, mais ce qui est sûr c’est qu’il est le sentiment le plus puissant chez l’être humain.
Être heureux c’est avoir ce qu’on désire, c’est peut-être la même vision d’un grand nombre d’hommes et de beaucoup de femmes envers l’amour. Cette idée se traduit dans la deuxième nouvelle « Sourire ». Deux villageois s’aimaient, ils étaient dans un état d’ivresse émotionnelle, dans une homogénéité extrême, leurs deux corps étaient devenus un seul.
Pendant dix ans, puisqu’ils ont franchi l’interdit, ces deux créatures amoureuses étaient en proie à la douleur. La huitième et la dernière nouvelle est racontée au féminin. La protagoniste témoigne en détail de ce que subit une femme qui aime. Après son avortement, elle est toute seule, délaissée dans une obscurité. Celui qui lui a promis un paradis sur terre renonce à elle.
Sa famille la rejette, la société la criminalise. C’est choquant, mais c’est bien la réalité, l’amour peut être source d’amertume et d’angoisse. Ces huit récits littéraires, ont bien joué le rôle de stimuler les pensées des lecteurs, les inviter à construire leurs propres définitions de l’amour.
Pour finir, aimer c’est vivre des « Amours » décevantes ou passionnantes, qui resteront archivées dans des coins de notre mémoire, mais elles font certainement partie de nous et de notre histoire en tant qu’entité de ce monde. L’amour est énigmatique et difficilement explicable, mais ce qui est sûr c’est qu’il est le sentiment le plus puissant chez l’être humain.
Maryem SADDIQUI