Les créateurs de contenus sur Twitch vont dorénavant bénéficier de nouveaux outils pour monétiser leurs vidéos en direct. Les responsables de la plateforme l’ont annoncé dans un billet de blog, publié jeudi 26 janvier 2023, dans lequel deux de ces dirigeants ont affiché la stratégie de développement de l’entreprise, rapporte Pure Médias.
Dans une déclaration à cette occasion, les responsables de la plateforme ont indiqué : "Notre objectif principal pour 2023 est votre croissance sur Twitch, en termes d’audience comme de revenus. Au cours du premier semestre, nous lancerons des produits et outils qui vous permettront de gagner plus facilement de l’argent sans nuire à votre développement", ont-ils écrit.
Parmi les nouveautés annoncées, on retrouve des "alertes sonores" appelées Sound bites ; ces outils permettront aux utilisateurs de payer pour faire passer un message audio durant la retransmission d’un live. Les Cheers, qui donnent la même possibilité mais par écrit, seront également "mis à jour".
Aussi, les prix des abonnements seront réduits, la plateforme compte en effet proposer de nouvelles promotions à ses utilisateurs. "Nous testons également des remises personnalisées basées sur le comportement des viewers et vieweuses afin de les encourager à vous soutenir", ont ajouté les responsables de Twitch.
Dans le même sillage, l’AIP (l’AdsIncentive Program) fera aussi son apparition, elle propose un revenu minimum pour les plus petits streamers, comptabilisant un nombre d’heures minimum et affichant une récurrence publicitaire minimum.
Mais ce que Twitch ne précise pas, c’est que ce nouveau système intervient en réponse à la baisse du prix de l’abonnement à un streamer, qui passe de 4,99€ à 3,99€ en France, avant qu’il ne remonte à 4,49€. On retire du revenu aux streamers et on le remplace par de la pub, une nouvelle stratégie qui ne fait pas l’unanimité.
En outre, les gros streamers se sont vus retirer le 70/30 après les 100.000 premiers dollars gagnés, ce qui leur permettait de garder 70% des revenus des abonnements en ne laissant que 30% à Twitch (remplacé par un classique 50/50). Moins d’argent donc, d’où la polémique qui a enflammé les réseaux sociaux en septembre 2022.
Sur l’aspect contenu, la plateforme travaille sur un moyen d’exporter de longues vidéos "vers des formats vidéo verticaux et courts", à l’instar des vidéos de TikTok, des Réels d’Instagram ou encore des Shorts de YouTube.
Twitch annonce dans le même sens avoir terminé avec un souci concernant ces usagers, à savoir l’affichage inopiné d’une publicité pendant un live. Désormais, les créateurs auront davantage de "visibilité" et de "contrôles" concernant "le moment où les publicités sont diffusées".
Enfin, ces changements seront opérés au fur et à mesure, à travers des tests "avec un nombre restreint de streameuses et streameurs" pour "assurer l’efficacité et l’authenticité du sponsoring sur Twitch, et ainsi rendre ces partenariats plus lucratifs pour vous et plus percutants pour la marque", conclut la plateforme.
Dans une déclaration à cette occasion, les responsables de la plateforme ont indiqué : "Notre objectif principal pour 2023 est votre croissance sur Twitch, en termes d’audience comme de revenus. Au cours du premier semestre, nous lancerons des produits et outils qui vous permettront de gagner plus facilement de l’argent sans nuire à votre développement", ont-ils écrit.
Parmi les nouveautés annoncées, on retrouve des "alertes sonores" appelées Sound bites ; ces outils permettront aux utilisateurs de payer pour faire passer un message audio durant la retransmission d’un live. Les Cheers, qui donnent la même possibilité mais par écrit, seront également "mis à jour".
Aussi, les prix des abonnements seront réduits, la plateforme compte en effet proposer de nouvelles promotions à ses utilisateurs. "Nous testons également des remises personnalisées basées sur le comportement des viewers et vieweuses afin de les encourager à vous soutenir", ont ajouté les responsables de Twitch.
Dans le même sillage, l’AIP (l’AdsIncentive Program) fera aussi son apparition, elle propose un revenu minimum pour les plus petits streamers, comptabilisant un nombre d’heures minimum et affichant une récurrence publicitaire minimum.
Mais ce que Twitch ne précise pas, c’est que ce nouveau système intervient en réponse à la baisse du prix de l’abonnement à un streamer, qui passe de 4,99€ à 3,99€ en France, avant qu’il ne remonte à 4,49€. On retire du revenu aux streamers et on le remplace par de la pub, une nouvelle stratégie qui ne fait pas l’unanimité.
En outre, les gros streamers se sont vus retirer le 70/30 après les 100.000 premiers dollars gagnés, ce qui leur permettait de garder 70% des revenus des abonnements en ne laissant que 30% à Twitch (remplacé par un classique 50/50). Moins d’argent donc, d’où la polémique qui a enflammé les réseaux sociaux en septembre 2022.
Sur l’aspect contenu, la plateforme travaille sur un moyen d’exporter de longues vidéos "vers des formats vidéo verticaux et courts", à l’instar des vidéos de TikTok, des Réels d’Instagram ou encore des Shorts de YouTube.
Twitch annonce dans le même sens avoir terminé avec un souci concernant ces usagers, à savoir l’affichage inopiné d’une publicité pendant un live. Désormais, les créateurs auront davantage de "visibilité" et de "contrôles" concernant "le moment où les publicités sont diffusées".
Enfin, ces changements seront opérés au fur et à mesure, à travers des tests "avec un nombre restreint de streameuses et streameurs" pour "assurer l’efficacité et l’authenticité du sponsoring sur Twitch, et ainsi rendre ces partenariats plus lucratifs pour vous et plus percutants pour la marque", conclut la plateforme.
