Les deux mineurs s’appelaient Tawfiq et Mohamed, tous deux originaires de la région de Beni Saïd, située à la périphérie d'Oued Laou (province de Tétouan). Ces deux candidats à l’immigration clandestine ont été identifiés, le 10 septembre, par un proche établi dans l’enclave.
L’autre jeune infortuné, Mohamed El Haouzy, est mort en essayant de rejoindre l’Europe via Sebta. Il espérait y trouver du travail pour subvenir aux besoins de sa mère et de sa jeune fratrie vivant à Kaa Asras (province de Chaouen). Son cadavre a été identifié le 12 septembre par deux proches résidant dans le centre d’hébergement temporaire des immigrés (CETI) de la ville.
Même si les corps ont été identifiés grâce à leurs proches et au travail de la police judiciaire locale, leur rapatriement est bloqué sans justification claire. Leurs cadavres sont encore conservés dans des réfrigérateurs.
Les familles ont contacté la presse locale pour faire avancer le dossier, tandis que la famille d’un des mineurs a saisi la justice.
L’autre jeune infortuné, Mohamed El Haouzy, est mort en essayant de rejoindre l’Europe via Sebta. Il espérait y trouver du travail pour subvenir aux besoins de sa mère et de sa jeune fratrie vivant à Kaa Asras (province de Chaouen). Son cadavre a été identifié le 12 septembre par deux proches résidant dans le centre d’hébergement temporaire des immigrés (CETI) de la ville.
Même si les corps ont été identifiés grâce à leurs proches et au travail de la police judiciaire locale, leur rapatriement est bloqué sans justification claire. Leurs cadavres sont encore conservés dans des réfrigérateurs.
Les familles ont contacté la presse locale pour faire avancer le dossier, tandis que la famille d’un des mineurs a saisi la justice.