C’est un nouveau classement qui vient appuyer le chemin parcouru par la Royaume pour réussir sa transition énergétique vers une exploitation durable de ses ressources naturelles. En effet, le Forum économique mondial (WEF) qui mesure la performance de 120 pays du monde en matière d’équité, de sécurité énergétique et de durabilité a classé le Maroc en première place parmi le top cinq des pays les plus performants en matière de transition énergétique dans la région MENA.
Il est à noter que ce classement s’établit, selon WEF, sur la base de trois indicateurs clés, à savoir l’équité dans l’accès aux sources d’énergie, la sécurité énergétique et la durabilité. Ce dernier critère combine entre l’efficacité énergétique, la décarbonisation et les progrès réalisés vers les systèmes énergétiques propres.
Sur la base de ces indicateurs, le Maroc s’est vu attribuer la 56e place sur 120 pays juste avant l’Arabie Saoudite (57e), le Qatar (59e), les Émirats arabes unis (63e), la Jordanie (63e), et l’Egypte (79e) qui se sont classés dans les cinq meilleurs pays en la matière.
Au niveau des pays maghrébins, le Maroc devance l’Algérie (86e) et la Tunisie (89e) sur 120 pays tandis qu’il vient dans la 2e place, derrière le Kenya (46e mondial), sachant que la Namibie (58e), Maurice (60e) et la Côte d’Ivoire (75e) arrivent dans le top cinq des pays les plus performant en matière de transition énergétique au niveau continental.
Dans une déclaration citée par le WEF dans son rapport au titre de l’année 2023, la ministre de la Transition énergétique et du développement durable, Leila Benali, a indiqué que le Maroc cherche des alternatives durables face à la perte de ressources essentielles.
« Le Royaume a réussi, ainsi, à répondre à ses besoins de développement conformément à son programme de développement durable, tout en renforçant sa sécurité énergétique », se félicite-t-elle.
La ministre a de même cité la Feuille de route pour la sécurité énergétique qui a mené le Royaume à décarboniser ses industries et donc à réduire les émissions de gaz à effet de serre. Sans surprise, la Suède arrive en tête du classement mondial, suivi du Danemark et de la Norvège.
Grâce à un engagement politique en faveur de la transition énergétique renforcée par une solidarité sans précédent de leurs cadres réglementaires, un environnement commercial propice au développement, ces pays ont pu attirer des investissements notables, clé essentielle pour une transition énergétique réussie.
Il est à noter que selon le rapport de WEF, tous les pays classés dans le top 10 sont de l’Europe de l’Ouest et du Nord et représentent 2 % des émissions de CO2, 4 % de l’approvisionnement énergétique total et 2 % de la population mondiale.
Il est à noter que ce classement s’établit, selon WEF, sur la base de trois indicateurs clés, à savoir l’équité dans l’accès aux sources d’énergie, la sécurité énergétique et la durabilité. Ce dernier critère combine entre l’efficacité énergétique, la décarbonisation et les progrès réalisés vers les systèmes énergétiques propres.
Sur la base de ces indicateurs, le Maroc s’est vu attribuer la 56e place sur 120 pays juste avant l’Arabie Saoudite (57e), le Qatar (59e), les Émirats arabes unis (63e), la Jordanie (63e), et l’Egypte (79e) qui se sont classés dans les cinq meilleurs pays en la matière.
Au niveau des pays maghrébins, le Maroc devance l’Algérie (86e) et la Tunisie (89e) sur 120 pays tandis qu’il vient dans la 2e place, derrière le Kenya (46e mondial), sachant que la Namibie (58e), Maurice (60e) et la Côte d’Ivoire (75e) arrivent dans le top cinq des pays les plus performant en matière de transition énergétique au niveau continental.
Dans une déclaration citée par le WEF dans son rapport au titre de l’année 2023, la ministre de la Transition énergétique et du développement durable, Leila Benali, a indiqué que le Maroc cherche des alternatives durables face à la perte de ressources essentielles.
« Le Royaume a réussi, ainsi, à répondre à ses besoins de développement conformément à son programme de développement durable, tout en renforçant sa sécurité énergétique », se félicite-t-elle.
La ministre a de même cité la Feuille de route pour la sécurité énergétique qui a mené le Royaume à décarboniser ses industries et donc à réduire les émissions de gaz à effet de serre. Sans surprise, la Suède arrive en tête du classement mondial, suivi du Danemark et de la Norvège.
Grâce à un engagement politique en faveur de la transition énergétique renforcée par une solidarité sans précédent de leurs cadres réglementaires, un environnement commercial propice au développement, ces pays ont pu attirer des investissements notables, clé essentielle pour une transition énergétique réussie.
Il est à noter que selon le rapport de WEF, tous les pays classés dans le top 10 sont de l’Europe de l’Ouest et du Nord et représentent 2 % des émissions de CO2, 4 % de l’approvisionnement énergétique total et 2 % de la population mondiale.
