La richesse du patrimoine culturel national représente une opportunité pour faire connaître l'industrie du tourisme au Maroc, en tant que vecteur important de consommation des produits de l’artisanat, des industries culturelles et créatives, a souligné Bensaïd qui présentait un exposé sur « Les efforts du ministère au service de la promotion du tourisme culturel » devant la commission thématique chargée de préparer la session annuelle d’évaluation des politiques publiques dans le domaine touristique (Chambre des Conseillers).
Il a indiqué, à cet égard, que la consommation directe ou indirecte du contenu culturel n'est pas sans impact sur d’autres créneaux de l’économie du pays. A titre d’exemple, il a noté que l’évaluation d'un tel impact dans le cas du Festival Gnaoua et Musiques du Monde d’Essaouira fait ressortir que chaque dirham investi dans cette manifestation rapporte 17 dirhams à la ville.
Le ministère de tutelle a œuvré pour la mise en place de centres de promotion du patrimoine voués à la préservation du patrimoine culturel et au développement de l’offre du patrimoine local, notamment dans les zones reculées en les intégrant dans les circuits touristiques, a-t-il poursuivi, précisant que le centre d’Ighoud émerge comme un modèle à part puisqu'il relie un site d’importance archéologique mondiale au circuit touristique Safi-Marrakech-Essaouira.
Dans le même souci de faire connaître l’Histoire des sites archéologiques, le ministère a lancé une série d’activités axées sur le patrimoine sous le signe « Nostalgie », au menu desquelles figurent des programmes culturels, des pièces théâtrales et d'autres évènements artistiques visant à mettre en lumière diverses civilisations. Cette manifestation culturelle qui s'étend sur l’année en cours concerne les sites de Chellah, du Palais de la Bahia et du Palais El Badiï.
D'autre part, le secteur cinématographique contribue à son tour au renforcement de l’activité touristique et à la promotion du Maroc en tant que destination touristique, a-t-il ajouté, rappelant que le Royaume demeure une destination privilégiée pour la production cinématographique, en raison de sa diversité géographique, de ses paysages naturels et de ses villes historiques.
Bensaïd a en outre évoqué les défis à relever en la matière, à la tête desquels figure la promotion de l’image du Maroc sur Internet et sur les réseaux sociaux à un moment où le Royaume s'engage dans les préparatifs en vue de l’organisation de la Coupe du Monde 2030.
L'accent doit être mis sur les évolutions sociales du tourisme, les préoccupations d'ordre environnemental, la durabilité et les expériences authentiques, tout en veillant à l’exploration de nouveaux secteurs du tourisme culturel, dont le patrimoine contemporain et industriel, en plus du renforcement de la coopération interministérielle et des partenariats avec les élus et la société civile.
Pour sa part, le président de la commission thématique chargée de préparer la session annuelle consacrée aux politiques publiques dans le domaine touristique, Mohamed Hanine, a indiqué que cette rencontre s’inscrit dans un esprit d’évaluation des programmes et des politiques publiques sur lesquelles se penche le ministère en vue d’améliorer l’attractivité du Maroc sur le plan touristique.
Il a noté à ce propos que l'Exécutif œuvre à la promotion du secteur touristique à la faveur d'une série de chantiers complémentaires, destinés entre autres à faire de la culture un véritable outil d’attractivité du tourisme au niveau tant local qu’international et à valoriser le potentiel dont regorge le Royaume dans les domaines de portée culturelle.
Le tourisme culturel, a-t-il dit, revêt une importance capitale parmi les politiques publiques compte tenu de la convergence des programmes y afférents dans la synergie des programmes avec ceux du ministère du Tourisme, de l'Artisanat et de l’Économie sociale et solidaire dans le cadre de la feuille de route 2023-2026.
Il a indiqué, à cet égard, que la consommation directe ou indirecte du contenu culturel n'est pas sans impact sur d’autres créneaux de l’économie du pays. A titre d’exemple, il a noté que l’évaluation d'un tel impact dans le cas du Festival Gnaoua et Musiques du Monde d’Essaouira fait ressortir que chaque dirham investi dans cette manifestation rapporte 17 dirhams à la ville.
Le ministère de tutelle a œuvré pour la mise en place de centres de promotion du patrimoine voués à la préservation du patrimoine culturel et au développement de l’offre du patrimoine local, notamment dans les zones reculées en les intégrant dans les circuits touristiques, a-t-il poursuivi, précisant que le centre d’Ighoud émerge comme un modèle à part puisqu'il relie un site d’importance archéologique mondiale au circuit touristique Safi-Marrakech-Essaouira.
Dans le même souci de faire connaître l’Histoire des sites archéologiques, le ministère a lancé une série d’activités axées sur le patrimoine sous le signe « Nostalgie », au menu desquelles figurent des programmes culturels, des pièces théâtrales et d'autres évènements artistiques visant à mettre en lumière diverses civilisations. Cette manifestation culturelle qui s'étend sur l’année en cours concerne les sites de Chellah, du Palais de la Bahia et du Palais El Badiï.
D'autre part, le secteur cinématographique contribue à son tour au renforcement de l’activité touristique et à la promotion du Maroc en tant que destination touristique, a-t-il ajouté, rappelant que le Royaume demeure une destination privilégiée pour la production cinématographique, en raison de sa diversité géographique, de ses paysages naturels et de ses villes historiques.
Bensaïd a en outre évoqué les défis à relever en la matière, à la tête desquels figure la promotion de l’image du Maroc sur Internet et sur les réseaux sociaux à un moment où le Royaume s'engage dans les préparatifs en vue de l’organisation de la Coupe du Monde 2030.
L'accent doit être mis sur les évolutions sociales du tourisme, les préoccupations d'ordre environnemental, la durabilité et les expériences authentiques, tout en veillant à l’exploration de nouveaux secteurs du tourisme culturel, dont le patrimoine contemporain et industriel, en plus du renforcement de la coopération interministérielle et des partenariats avec les élus et la société civile.
Pour sa part, le président de la commission thématique chargée de préparer la session annuelle consacrée aux politiques publiques dans le domaine touristique, Mohamed Hanine, a indiqué que cette rencontre s’inscrit dans un esprit d’évaluation des programmes et des politiques publiques sur lesquelles se penche le ministère en vue d’améliorer l’attractivité du Maroc sur le plan touristique.
Il a noté à ce propos que l'Exécutif œuvre à la promotion du secteur touristique à la faveur d'une série de chantiers complémentaires, destinés entre autres à faire de la culture un véritable outil d’attractivité du tourisme au niveau tant local qu’international et à valoriser le potentiel dont regorge le Royaume dans les domaines de portée culturelle.
Le tourisme culturel, a-t-il dit, revêt une importance capitale parmi les politiques publiques compte tenu de la convergence des programmes y afférents dans la synergie des programmes avec ceux du ministère du Tourisme, de l'Artisanat et de l’Économie sociale et solidaire dans le cadre de la feuille de route 2023-2026.