Bien que la 5G en soit encore au tout début de sa phase de déploiement, l’Office national de la propriété intellectuelle en Chine a annoncé avoir déposé plusieurs milliers de brevets concernant la 6G. Alors que le pays avait lancé en orbite un satellite 6G en 2020, l’organisme chinois a affirmé que : « la Chine a pris une longueur d'avance sur le reste du monde en matière de développement de brevets relatifs aux réseaux mobiles 6G ».
La Chine, première en matière de brevets 6G
La China National Intellectual Property Administration a déclaré le 26 avril la domination de la Chine à propos de la 6G. Cette date n’a pas été choisie au hasard, en effet elle se rapporte à la Journée mondiale de la propriété intellectuelle. La CNIPA a fait état de 38.000 travaux pertinents qui touchent à la 6G, dont 35% émanent de la Chine.
Des pays à travers le monde se sont déjà lancés dans le projet de la 6G. La CNIPA a identifié la Finlande, le Japon et bien sûr les États-Unis, d’ailleurs Apple est déjà sur le dossier de la 6G. La première puissance économique sera certainement un adversaire de taille contre la Chine. Il est évident que les deux pays ne souhaitent pas laisser la première place concernant cette nouvelle génération de réseau où tout est encore à déployer.
L’affrontement de deux géants
Contrairement à d’autres pays, l’Empire du Milieu a déjà une longueur d’avance. En effet, le pays a déjà placé un satellite 6G en orbite afin d’analyser les échanges de données par le biais de réseaux dont la fréquence atteint le térahertz, dans l’environnement spatial. Les réseaux térahertz et les interfaces radio incorporant l'intelligence artificielle sont des sphères dans lesquelles la Chine l’emporte.
La 6G devrait être cent fois plus rapide que la 5G. Des experts considèrent que cette nouvelle génération de réseau pourrait participer à déployer plusieurs technologies appartenant au domaine de la science-fiction. Il s’agirait peut-être d’hologrammes ou d’interfaces cerveau-machine comme celles de Neuralink. Pour l’heure la Chine souhaite fixer une norme mondiale pour la 6G, comme elle l’a fait pour la 5G. Toutefois, le reste du monde ne semble pas approuver cette décision.
Pékin voudrait mettre en place une norme comme cela a été le cas avec Huawei pour la 5G. L’implication d’une société chinoise dans le système de standardisation lui rend le marché plus facilement accessible. Cependant, du côté de l’administration Biden les choses sont vues différemment. Washington compte reprendre la tête sur le processus de définition des normes… un combat qui s’annonce serré. En attendant, une norme officielle devrait être annoncée avant la fin de la décennie.
La Chine, première en matière de brevets 6G
La China National Intellectual Property Administration a déclaré le 26 avril la domination de la Chine à propos de la 6G. Cette date n’a pas été choisie au hasard, en effet elle se rapporte à la Journée mondiale de la propriété intellectuelle. La CNIPA a fait état de 38.000 travaux pertinents qui touchent à la 6G, dont 35% émanent de la Chine.
Des pays à travers le monde se sont déjà lancés dans le projet de la 6G. La CNIPA a identifié la Finlande, le Japon et bien sûr les États-Unis, d’ailleurs Apple est déjà sur le dossier de la 6G. La première puissance économique sera certainement un adversaire de taille contre la Chine. Il est évident que les deux pays ne souhaitent pas laisser la première place concernant cette nouvelle génération de réseau où tout est encore à déployer.
L’affrontement de deux géants
Contrairement à d’autres pays, l’Empire du Milieu a déjà une longueur d’avance. En effet, le pays a déjà placé un satellite 6G en orbite afin d’analyser les échanges de données par le biais de réseaux dont la fréquence atteint le térahertz, dans l’environnement spatial. Les réseaux térahertz et les interfaces radio incorporant l'intelligence artificielle sont des sphères dans lesquelles la Chine l’emporte.
La 6G devrait être cent fois plus rapide que la 5G. Des experts considèrent que cette nouvelle génération de réseau pourrait participer à déployer plusieurs technologies appartenant au domaine de la science-fiction. Il s’agirait peut-être d’hologrammes ou d’interfaces cerveau-machine comme celles de Neuralink. Pour l’heure la Chine souhaite fixer une norme mondiale pour la 6G, comme elle l’a fait pour la 5G. Toutefois, le reste du monde ne semble pas approuver cette décision.
Pékin voudrait mettre en place une norme comme cela a été le cas avec Huawei pour la 5G. L’implication d’une société chinoise dans le système de standardisation lui rend le marché plus facilement accessible. Cependant, du côté de l’administration Biden les choses sont vues différemment. Washington compte reprendre la tête sur le processus de définition des normes… un combat qui s’annonce serré. En attendant, une norme officielle devrait être annoncée avant la fin de la décennie.