
Ni le gouvernement qatari, ni le Trésor américain n'ont publié de déclaration à ce sujet.
"Nous remercions le gouvernement qatari pour la généreuse subvention accordée afin de payer une partie des salaires actuels", a déclaré M. Barnieh, cité mercredi soir par l'agence officielle syrienne Sana.
L'accord porte sur "29 millions de dollars par mois pendant trois mois" et couvrira "les salaires dans les secteurs de la santé, de l'éducation et des affaires sociales, ainsi que les retraites non militaires", a-t-il précisé.
L'opération "a été exemptée des sanctions américaines", a-t-il ajouté, en remerciant le Trésor américain "pour la rapidité avec laquelle il a facilité l'octroi de cette aide".
Depuis des mois, les nouvelles autorités syriennes réclament la levée des sanctions internationales imposées durant le règne de l'ancien président Bachar al-Assad.
M. Barnieh a exprimé l'espoir que ce geste serait "suivi d'autres mesures visant à réduire les sanctions" frappant l'économie syrienne. "Nous poursuivons les réformes afin de renforcer la confiance dans notre système financier", a-t-il ajouté.
Le Qatar est avec la Turquie l'un des principaux soutiens des nouvelles autorités islamistes qui ont pris le pouvoir après avoir chassé Bachar el-Assad le 8 décembre, au terme de près de 14 ans de guerre civile.
"Nous remercions le gouvernement qatari pour la généreuse subvention accordée afin de payer une partie des salaires actuels", a déclaré M. Barnieh, cité mercredi soir par l'agence officielle syrienne Sana.
L'accord porte sur "29 millions de dollars par mois pendant trois mois" et couvrira "les salaires dans les secteurs de la santé, de l'éducation et des affaires sociales, ainsi que les retraites non militaires", a-t-il précisé.
L'opération "a été exemptée des sanctions américaines", a-t-il ajouté, en remerciant le Trésor américain "pour la rapidité avec laquelle il a facilité l'octroi de cette aide".
Depuis des mois, les nouvelles autorités syriennes réclament la levée des sanctions internationales imposées durant le règne de l'ancien président Bachar al-Assad.
M. Barnieh a exprimé l'espoir que ce geste serait "suivi d'autres mesures visant à réduire les sanctions" frappant l'économie syrienne. "Nous poursuivons les réformes afin de renforcer la confiance dans notre système financier", a-t-il ajouté.
Le Qatar est avec la Turquie l'un des principaux soutiens des nouvelles autorités islamistes qui ont pris le pouvoir après avoir chassé Bachar el-Assad le 8 décembre, au terme de près de 14 ans de guerre civile.
Allègement des sanctions
En janvier, une source diplomatique avait déclaré à l'AFP que le Qatar envisageait de fournir aux nouvelles autorités des fonds pour augmenter les salaires du secteur public.
M. Barnieh a déclaré que "la subvention serait gérée par le Programme des Nations Unies pour le développement" et couvrait "environ un cinquième des salaires et pensions actuels".
Plusieurs pays occidentaux, notamment européens, ont allégé certaines sanctions contre la Syrie, tandis que Washington a déclaré qu'il ne les assouplirait pas tant qu'il n'aurait pas constaté de progrès notamment dans la lutte contre le "terrorisme".
Mercredi, lors d'une visite à Paris du président syrien Ahmad al-Chareh, le président français Emmanuel Macron a appelé à la poursuite de "la levée progressive des sanctions économiques européennes" si les nouvelles autorités stabilisaient le pays.
Le ministre syrien des Affaires étrangères Assaad al-Chaibani a estimé jeudi sur X que la visite à Paris marquait un "tournant sur la question de la levée des sanctions".