Geir Pedersen a appelé mercredi les acteurs clefs du conflit à observer sur le plan politique la même logique de "compromis" adoptée après le séisme.
"Si tous, et je dis bien tous, peuvent envisager un compromis par rapport à leurs positions antérieures, tout le monde sera gagnant", a déclaré l'émissaire de l'ONU pour la Syrie, en conférence de presse à Genève.
"Au lendemain des tremblements de terre, nous avons vu des mesures humanitaires prises par toutes les parties qui ont dépassé les positions antérieures, même si ce n'est que temporairement", a-t-il dit.
Ce séisme a dévasté, le 6 février, plusieurs régions de Syrie et de la Turquie voisine, faisant dans les deux pays plus de 50.000 morts.
Depuis, les Etats-Unis et l'Union européenne ont allégé les sanctions imposées à la Syrie, tandis que Damas a accepté d'autoriser l'ONU à ouvrir deux autres passages frontaliers pour aider à acheminer plus d'aide, alors qu'il n'y en avait qu'un seul avant le séisme.
Il y a un mois encore, a souligné Pedersen, "il n'était pas envisageable d'ouvrir de nouveaux points de passage frontaliers ni d'assouplir les sanctions", et pourtant "il y a eu des avancées sur ces deux points".
"Nous avons besoin que la même logique qui a été appliquée sur le front humanitaire soit maintenant appliquée au niveau politique", a-t-il demandé.
Plusieurs cycles de pourparlers parrainés par l'ONU se sont déroulés depuis le début du conflit syrien en 2011 mais les parties ne sont parvenues à aucune avancée majeure.
"Si tous, et je dis bien tous, peuvent envisager un compromis par rapport à leurs positions antérieures, tout le monde sera gagnant", a déclaré l'émissaire de l'ONU pour la Syrie, en conférence de presse à Genève.
"Au lendemain des tremblements de terre, nous avons vu des mesures humanitaires prises par toutes les parties qui ont dépassé les positions antérieures, même si ce n'est que temporairement", a-t-il dit.
Ce séisme a dévasté, le 6 février, plusieurs régions de Syrie et de la Turquie voisine, faisant dans les deux pays plus de 50.000 morts.
Depuis, les Etats-Unis et l'Union européenne ont allégé les sanctions imposées à la Syrie, tandis que Damas a accepté d'autoriser l'ONU à ouvrir deux autres passages frontaliers pour aider à acheminer plus d'aide, alors qu'il n'y en avait qu'un seul avant le séisme.
Il y a un mois encore, a souligné Pedersen, "il n'était pas envisageable d'ouvrir de nouveaux points de passage frontaliers ni d'assouplir les sanctions", et pourtant "il y a eu des avancées sur ces deux points".
"Nous avons besoin que la même logique qui a été appliquée sur le front humanitaire soit maintenant appliquée au niveau politique", a-t-il demandé.
Plusieurs cycles de pourparlers parrainés par l'ONU se sont déroulés depuis le début du conflit syrien en 2011 mais les parties ne sont parvenues à aucune avancée majeure.