Lors d'un point de presse à l'issue de la réunion du Conseil du gouvernement, Baitas a déclaré, que le gouvernement subventionne la farine afin de maintenir la stabilité des prix, et par conséquent le prix du pain. L'objectif de cette subvention est de maintenir le prix unitaire du pain à 1,20 dirhams, comme convenu, initialement, avec le gouvernement.
Cette réaction du gouvernement intervient après que la Fédération Marocaine de la Boulangerie et Pâtisseries a publié un communiqué, niant l'existence d'un financement en faveur des boulangeries. Notons que la Fédération appelle à l'ouverture d'une enquête sur les bénéficiaires de la subvention.
"Le secteur de la boulangerie-pâtisserie ne reçoit aucun soutien gouvernemental pour maintenir le prix du pain à 1,20 dirhams/unité", a souligné le communiqué des professionnels, ajoutant qu'aucun texte de loi ou décret réglementaire ne régule ce prix.
La fédération a souligné que "plus de 90% des propriétaires de boulangeries sont devenus totalement incapables de faire face à l'augmentation croissante des prix de matières premières, des coûts de main-d'œuvre et des diverses exigences de travail", soulignant que le secteur demeure mal protégé, surtout suite à la prédominance de l'informel.
Dans son communiqué, elle a appelé le gouvernement à "réformer le système de subvention des céréales qui coûte des milliards au Trésor public", qui bénnéficie surtout, selon la même sourcen à "certains lobbies", mais pas aux boulangeries et patisseries.
Cette réaction du gouvernement intervient après que la Fédération Marocaine de la Boulangerie et Pâtisseries a publié un communiqué, niant l'existence d'un financement en faveur des boulangeries. Notons que la Fédération appelle à l'ouverture d'une enquête sur les bénéficiaires de la subvention.
"Le secteur de la boulangerie-pâtisserie ne reçoit aucun soutien gouvernemental pour maintenir le prix du pain à 1,20 dirhams/unité", a souligné le communiqué des professionnels, ajoutant qu'aucun texte de loi ou décret réglementaire ne régule ce prix.
La fédération a souligné que "plus de 90% des propriétaires de boulangeries sont devenus totalement incapables de faire face à l'augmentation croissante des prix de matières premières, des coûts de main-d'œuvre et des diverses exigences de travail", soulignant que le secteur demeure mal protégé, surtout suite à la prédominance de l'informel.
Dans son communiqué, elle a appelé le gouvernement à "réformer le système de subvention des céréales qui coûte des milliards au Trésor public", qui bénnéficie surtout, selon la même sourcen à "certains lobbies", mais pas aux boulangeries et patisseries.