Prendrai, prendrai pas, donnerai, ne donnerai pas, soutiendrai, ne soutiendrai pas le sport : autant de questions hésitantes auxquelles il était difficile de répondre au bureau de la commission du conseil municipal chargée de la répartition des subventions au sport tangérois.
Les dernières subventions de la mairie pour le développement et l’épanouissement du sport de cette saison avait suscité une grande polémique.
La valeur de l’argent de la mairie destinée à aider financièrement les différentes associations sportives de la ville a déclenché la colère des dirigeants.
Incroyable mais vrai, le montant de la subvention versée n’a tenu compte ni des diverses activités, ni de la formation des jeunes, ni de l’importance de la section.
Pire encore, plusieurs formations ayant joué un rôle important dans l’animation du sport à Tanger ont été mises à l’écart et oubliées pour des raisons inconnues.
En plus, un manque de transparence dans l’équilibre a été négligé: telle équipe a touché des millions de centimes, telle autre a touché des centaines de centimes, telle autre n’a rien eu.
Dans un panorama décevant, l’une des anciennes associations tangéroises ayant une bonne réputation aussi bien au niveau régional que national avec une multitude de manifestations touchant même les deux pays riverains l’Espagne et le Portugal, l’Association de la Presse Sportive est sortie de la répartition des subventions comme une grande victime.
Aucun sou. Qu’en dire, qu’en penser ? Comment peut-on concevoir que les hommes de la plume, du micro, de la télévision, de la presse régionale, nationale et électronique soient écartés d’une façon bizarre à l’heure où le dossier complet de la presse sportive était déposé à la mairie ?
Il est aussi impératif de rappeler que la même association avait minutieusement préparé sa demande de subvention la saison écoulée et qu’elle avait obtenu une aide de 20.000 dh soit deux millions de centimes sur le papier seulement car après trente jours seulement il n’y avait aucune trace du virement de cette somme à la banque.
En parallèle à cette négligence, les trois clubs des personnes handicapées qui méritaient mieux vu leur performance dans les compétitions et leurs excellents résultats étaient lésés avec des sommes dérisoires : 100.000 dh pour Abnae Boughaz mais 5000 dh seulement pour Ittihad Ryadi Tanji et Wissal Arrahma.
Pourtant l’objectif principal de ses associations est d’œuvrer pour offrir une vie normale, ainsi qu’un soutien éducatif, spirituel, médical et psychosocial aux personnes ayant des besoins spécifiques. Elles travaillent sur l’accompagnement, la formation, l’intégration et l’emploi de ces handicapés.
Les dernières subventions de la mairie pour le développement et l’épanouissement du sport de cette saison avait suscité une grande polémique.
La valeur de l’argent de la mairie destinée à aider financièrement les différentes associations sportives de la ville a déclenché la colère des dirigeants.
Incroyable mais vrai, le montant de la subvention versée n’a tenu compte ni des diverses activités, ni de la formation des jeunes, ni de l’importance de la section.
Pire encore, plusieurs formations ayant joué un rôle important dans l’animation du sport à Tanger ont été mises à l’écart et oubliées pour des raisons inconnues.
En plus, un manque de transparence dans l’équilibre a été négligé: telle équipe a touché des millions de centimes, telle autre a touché des centaines de centimes, telle autre n’a rien eu.
Dans un panorama décevant, l’une des anciennes associations tangéroises ayant une bonne réputation aussi bien au niveau régional que national avec une multitude de manifestations touchant même les deux pays riverains l’Espagne et le Portugal, l’Association de la Presse Sportive est sortie de la répartition des subventions comme une grande victime.
Aucun sou. Qu’en dire, qu’en penser ? Comment peut-on concevoir que les hommes de la plume, du micro, de la télévision, de la presse régionale, nationale et électronique soient écartés d’une façon bizarre à l’heure où le dossier complet de la presse sportive était déposé à la mairie ?
Il est aussi impératif de rappeler que la même association avait minutieusement préparé sa demande de subvention la saison écoulée et qu’elle avait obtenu une aide de 20.000 dh soit deux millions de centimes sur le papier seulement car après trente jours seulement il n’y avait aucune trace du virement de cette somme à la banque.
En parallèle à cette négligence, les trois clubs des personnes handicapées qui méritaient mieux vu leur performance dans les compétitions et leurs excellents résultats étaient lésés avec des sommes dérisoires : 100.000 dh pour Abnae Boughaz mais 5000 dh seulement pour Ittihad Ryadi Tanji et Wissal Arrahma.
Pourtant l’objectif principal de ses associations est d’œuvrer pour offrir une vie normale, ainsi qu’un soutien éducatif, spirituel, médical et psychosocial aux personnes ayant des besoins spécifiques. Elles travaillent sur l’accompagnement, la formation, l’intégration et l’emploi de ces handicapés.
