L’Institution Marocaine d’Appui à la Micro entreprise (INMAA) de Settat vient de tenir son assemblée générale ordinaire au titre de l’année 2022. Sous la présidence d’Ahmed Aithadout, à la tête de ladite organisation, cette rencontre a été axée sur les rapports d’activités et financiers, le rapport du commissaire aux comptes, la situation financière de l’institution et l’établissement d’un plan d’urgence de redressement, principaux points inscrits à l’ordre du jour de cette session.
Au cours de la réunion, l’accent a été mis sur le rôle de l’INMAA dans le domaine du microcrédit et sa contribution à la lutte contre la pauvreté à travers des programmes de microcrédit au profit des pauvres actifs, notamment les femmes rurales, ayant besoin de petits prêts pour renforcer leurs activités économiques ou entamer de nouvelles activités.
La crise financière que vit INMAA, lit-on dans un communiqué, est due essentiellement à l’impact de la pandémie de Covid-19 sur la situation financière de cette institution provoquant ainsi des contraintes opérationnelles rencontrées qui ont inévitablement eu des répercussions financières importantes traduites par : une augmentation du portefeuille à risques (PAR) due à la baisse des remboursements, ainsi qu’une réduction de l’encours de crédit due à la baisse des décaissements.
A noter que l’Institution Marocaine d’Appui à la Micro-Entreprise est une association créée en 1999 et agréée par le ministère de tutelle en 2000. Elle a pour mission de contribuer à la lutte contre la pauvreté à travers des programmes de microcrédit.
Son intervention s’étale sur tout le territoire marocain, notamment dans les zones rurales et particulièrement aux régions Draa Tafilalet, Rabat-Salé-Kénitra, Béni Mellal-Khenifra et Marrakech-Safi.L’INMAA envisage de développer, outre le microcrédit solidaire, de nouveaux produits financiers adaptés aux besoins de certains secteurs économiques. La devise d’INMAA est de « lutter contre la pauvreté, là où elle est le plus difficile à atteindre ».
Au cours de la réunion, l’accent a été mis sur le rôle de l’INMAA dans le domaine du microcrédit et sa contribution à la lutte contre la pauvreté à travers des programmes de microcrédit au profit des pauvres actifs, notamment les femmes rurales, ayant besoin de petits prêts pour renforcer leurs activités économiques ou entamer de nouvelles activités.
La crise financière que vit INMAA, lit-on dans un communiqué, est due essentiellement à l’impact de la pandémie de Covid-19 sur la situation financière de cette institution provoquant ainsi des contraintes opérationnelles rencontrées qui ont inévitablement eu des répercussions financières importantes traduites par : une augmentation du portefeuille à risques (PAR) due à la baisse des remboursements, ainsi qu’une réduction de l’encours de crédit due à la baisse des décaissements.
A noter que l’Institution Marocaine d’Appui à la Micro-Entreprise est une association créée en 1999 et agréée par le ministère de tutelle en 2000. Elle a pour mission de contribuer à la lutte contre la pauvreté à travers des programmes de microcrédit.
Son intervention s’étale sur tout le territoire marocain, notamment dans les zones rurales et particulièrement aux régions Draa Tafilalet, Rabat-Salé-Kénitra, Béni Mellal-Khenifra et Marrakech-Safi.L’INMAA envisage de développer, outre le microcrédit solidaire, de nouveaux produits financiers adaptés aux besoins de certains secteurs économiques. La devise d’INMAA est de « lutter contre la pauvreté, là où elle est le plus difficile à atteindre ».