La population de Sidi Bennour a célébré dernièrement, dans une cérémonie empreinte de joie et de piété, l’exploit de la petite Fatna El Kaoutari, qui vient à l’âge de 13 ans de mémoriser la totalité du Saint Coran.
Dans son douar natal, « Jrayer », commune de B’ni Hlal, sa petite famille et ses amis ont célébré comme il se doit cet événement. La participation effective du Conseil des Oulémas de Sidi Bennour à cet événement a été la cerise sur le gâteau. La nouvelle a fait le buzz sur les réseaux sociaux.
Surnommée « Chevalière du Saint Coran », Fatna a conquis les coeurs de la population qui lui a réservé un accueil honorable, manière de lui rendre un hommage appuyé pour ses sacrifices et sa persévérance dans la mémorisation des versets coraniques.
« Je dédie ce trophée surtout à mes parents qui, malgré le manque de moyens, m’ont toujours soutenue et encouragée à aller de l’avant », déclare Fatna, fière et émue, ajoutant que « le parcours était très difficile mais pas impossible. J’ai beaucoup peiné pour réconcilier études et parachèvement de la mémorisation du Saint Coran. Aujourd’hui, je suis comblée ». « Fatna a dû, depuis 2016, travailler dur pour pouvoir fêter aujourd’hui son succès, alors qu’elle a juste 13 ans », souligne pour sa part son père Larbi.
Dans son douar natal, « Jrayer », commune de B’ni Hlal, sa petite famille et ses amis ont célébré comme il se doit cet événement. La participation effective du Conseil des Oulémas de Sidi Bennour à cet événement a été la cerise sur le gâteau. La nouvelle a fait le buzz sur les réseaux sociaux.
Surnommée « Chevalière du Saint Coran », Fatna a conquis les coeurs de la population qui lui a réservé un accueil honorable, manière de lui rendre un hommage appuyé pour ses sacrifices et sa persévérance dans la mémorisation des versets coraniques.
« Je dédie ce trophée surtout à mes parents qui, malgré le manque de moyens, m’ont toujours soutenue et encouragée à aller de l’avant », déclare Fatna, fière et émue, ajoutant que « le parcours était très difficile mais pas impossible. J’ai beaucoup peiné pour réconcilier études et parachèvement de la mémorisation du Saint Coran. Aujourd’hui, je suis comblée ». « Fatna a dû, depuis 2016, travailler dur pour pouvoir fêter aujourd’hui son succès, alors qu’elle a juste 13 ans », souligne pour sa part son père Larbi.
M. L.