Après les révélations liées à l’affaire du « sexe contre bonnes notes », le doyen de la faculté des sciences juridiques, économiques et sociales de l’Université Hassan 1er à Settat, Najib Hajoui, avait demandé fin novembre à ce qu’il soit relevé de ses fonctions. Le Chef du gouvernement a exaucé son souhait.
Au moins cinq professeurs universitaires sont accusés d’avoir fait chanter plusieurs étudiantes pour obtenir des relations sexuelles, en contrepartie de bonnes notes d’examens.
Comme le montre le document ci-dessous, la décision de relever Najib Hajoui de son poste a été décidée conformément aux dispositions prévues dans le décret 2.12.412 du 11 octobre 2012, pris pour l’application des articles 4 et 5 de la loi organique 02.12 sur la nomination aux fonctions supérieures.
La décision a été signée par le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, le ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation Abdellatif Miraoui et le ministre délégué chargé du Budget Fouzi Lekjaâ.
Au moins cinq professeurs universitaires sont accusés d’avoir fait chanter plusieurs étudiantes pour obtenir des relations sexuelles, en contrepartie de bonnes notes d’examens.
Comme le montre le document ci-dessous, la décision de relever Najib Hajoui de son poste a été décidée conformément aux dispositions prévues dans le décret 2.12.412 du 11 octobre 2012, pris pour l’application des articles 4 et 5 de la loi organique 02.12 sur la nomination aux fonctions supérieures.
La décision a été signée par le Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, le ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation Abdellatif Miraoui et le ministre délégué chargé du Budget Fouzi Lekjaâ.
