Dans un communiqué datant du 14 septembre, la CNCLT a indiqué avoir constaté plusieurs publications nuisant aux victimes du séisme, surtout les femmes et les enfants pouvant constituer des crimes et des délits aux termes de la loi n° 27-14 relative à la lutte contre la traite des êtres humains.
La Commission relevant du ministère de la Justice a annoncé qu’elle a décidé de porter les affaires recensées, dans ce contexte, devant les services sécuritaires et judiciaires concernés, affirmant que les acteurs de tels actes sont exposés à des peines sévères.
La Commission a de même souligné que le numéro vert 0800004747 est destiné à dénoncer toutes les formes de traite d'êtres humains notamment celles susceptibles de survenir après le séisme d'Al Haouz, précisant qu’elle ne prend en charge que les affaires liées à ses prérogatives.
« Le chiffre vert mentionné ne concerne que les cas potentiels de traite d’êtres humains. Par conséquent, tout signalement de cas en dehors de ce cadre devrait être adressé aux autorités compétentes, afin d’assurer une gestion optimale des mécanismes d’alerte mis à la disposition du public ainsi que pour laisser place aux cas réels de victimes potentielles nécessitant une interaction immédiate », a précisé CNCLT.
Et de conclure : « La possibilité de signaler d’éventuels cas de traite d’êtres humains reste également ouverte auprès des autorités judiciaires et sécuritaires, y compris les cellules de prise en charge des femmes et des enfants victimes de violence, établies conformément aux règles juridiques en vigueur ».
La Commission relevant du ministère de la Justice a annoncé qu’elle a décidé de porter les affaires recensées, dans ce contexte, devant les services sécuritaires et judiciaires concernés, affirmant que les acteurs de tels actes sont exposés à des peines sévères.
La Commission a de même souligné que le numéro vert 0800004747 est destiné à dénoncer toutes les formes de traite d'êtres humains notamment celles susceptibles de survenir après le séisme d'Al Haouz, précisant qu’elle ne prend en charge que les affaires liées à ses prérogatives.
« Le chiffre vert mentionné ne concerne que les cas potentiels de traite d’êtres humains. Par conséquent, tout signalement de cas en dehors de ce cadre devrait être adressé aux autorités compétentes, afin d’assurer une gestion optimale des mécanismes d’alerte mis à la disposition du public ainsi que pour laisser place aux cas réels de victimes potentielles nécessitant une interaction immédiate », a précisé CNCLT.
Et de conclure : « La possibilité de signaler d’éventuels cas de traite d’êtres humains reste également ouverte auprès des autorités judiciaires et sécuritaires, y compris les cellules de prise en charge des femmes et des enfants victimes de violence, établies conformément aux règles juridiques en vigueur ».