Le dirigeant socialiste a rappelé à Juan Vivas qu'il avait promis d'augmenter les zones ombragées et le nombre de toilettes mobiles, ainsi que l'installation de points de vente de nourriture et de boissons.
Il a aussi déploré que les voyageurs qui doivent subir des heures d'attente pour franchir pour le transit, «ne disposent même pas d'un magasin où ils peuvent acheter des aliments et des boissons nécessaires».
Selon le PSOE, la zone d'attente prévue à Loma Colmenar, relève de la responsabilité et de la compétence du gouvernement local du préside. Juan Gutiérrez a regretté qu'il n'y ait aucun indice sur l'exécution des mesures promises pour faire face à un afflux possible de voyageurs maghrébins pendant les vacances d'été ».
Ainsi, le PSOE demande au gouvernement d'installer, dans les plus brefs délais, de stands et d'aires plus ombragées pour éviter une nouvelle "catastrophe" comme celle vécue l'année dernière.
Et de conclure qu’il s'agit d'un problème qui n'affecte pas seulement les voyageurs qui se rendent au Maroc, mais aussi les habitants de Sebta, en particulier les résidents de Loma Colmenar et les patients et familles qui se rendent à l'hôpital universitaire.
Pour rappel, des ONG avaient vivement critiqué les autorités locales espagnoles l’année dernière, à cause de la situation infernale à laquelle ont fait face des centaines de Marocains à Sebta durant leur transit vers le Maroc.
Il a aussi déploré que les voyageurs qui doivent subir des heures d'attente pour franchir pour le transit, «ne disposent même pas d'un magasin où ils peuvent acheter des aliments et des boissons nécessaires».
Selon le PSOE, la zone d'attente prévue à Loma Colmenar, relève de la responsabilité et de la compétence du gouvernement local du préside. Juan Gutiérrez a regretté qu'il n'y ait aucun indice sur l'exécution des mesures promises pour faire face à un afflux possible de voyageurs maghrébins pendant les vacances d'été ».
Ainsi, le PSOE demande au gouvernement d'installer, dans les plus brefs délais, de stands et d'aires plus ombragées pour éviter une nouvelle "catastrophe" comme celle vécue l'année dernière.
Et de conclure qu’il s'agit d'un problème qui n'affecte pas seulement les voyageurs qui se rendent au Maroc, mais aussi les habitants de Sebta, en particulier les résidents de Loma Colmenar et les patients et familles qui se rendent à l'hôpital universitaire.
Pour rappel, des ONG avaient vivement critiqué les autorités locales espagnoles l’année dernière, à cause de la situation infernale à laquelle ont fait face des centaines de Marocains à Sebta durant leur transit vers le Maroc.
