Comme le rapportent des sources policières, 135 immigrés marocains, dont certains arrivés illégalement dans la ville lors de l'entrée massive des 17 et 18 mai, sont rentrés ces derniers jours volontairement dans leur pays d'origine via le poste frontière de Tarajal.
La déléguée du gouvernement espagnol à Sebta, Salvadora Mateos, a encouragé tous les Marocains majeurs restés dans la ville à retourner volontairement dans leur pays après l'entrée massive, dont le nombre total n'a pas encore été officiellement chiffré par le ministère de l'Intérieur, bien qu'il soit estimé à environ 12.000 personnes.
A rappeler que les autorités locales à Sebta avaient annoncé, le 23 juin dernier, que le Maroc a autorisé à nouveau les retours volontaires de ces citoyens arrivés à Sebta en mai dernier.
La Délégation du Gouvernement a affirmé que les retours volontaires des Marocains n'ont cessé d'avoir lieu depuis mai, et qu'ils s'effectuent actuellement en moyenne autour de 120 départs hebdomadaires. Ces immigrés avaient prévenu qu'ils n'avaient aucun moyen de sortir de la ville, ils choisissent donc de retourner dans leur pays d'origine, selon les données fournies par le gouvernement. Cependant, ces départs n'incluent pas de mineurs puisque les négociations se poursuivent pour pouvoir rendre ces enfants à leurs parents.
La déléguée du gouvernement espagnol à Sebta, Salvadora Mateos, a encouragé tous les Marocains majeurs restés dans la ville à retourner volontairement dans leur pays après l'entrée massive, dont le nombre total n'a pas encore été officiellement chiffré par le ministère de l'Intérieur, bien qu'il soit estimé à environ 12.000 personnes.
A rappeler que les autorités locales à Sebta avaient annoncé, le 23 juin dernier, que le Maroc a autorisé à nouveau les retours volontaires de ces citoyens arrivés à Sebta en mai dernier.
La Délégation du Gouvernement a affirmé que les retours volontaires des Marocains n'ont cessé d'avoir lieu depuis mai, et qu'ils s'effectuent actuellement en moyenne autour de 120 départs hebdomadaires. Ces immigrés avaient prévenu qu'ils n'avaient aucun moyen de sortir de la ville, ils choisissent donc de retourner dans leur pays d'origine, selon les données fournies par le gouvernement. Cependant, ces départs n'incluent pas de mineurs puisque les négociations se poursuivent pour pouvoir rendre ces enfants à leurs parents.
