
Dans une lettre adressée à Abderrahmane Amsidder, jusque-là directeur de l’École supérieure de l’éducation et de la formation (ESEF), le ministre de l’Enseignement supérieur l’a informé de sa nomination en tant que président par intérim et responsable financier de l’Université Ibn Zohr à Agadir.
Le nouveau président succédera à l’ancien responsable, Abdelaziz Bendo, et assurera ses fonctions à compter du mercredi 11 juin 2025, et ce jusqu’à la nomination d’un nouveau responsable, afin de garantir le bon fonctionnement de l’université durant cette période de transition.
Bien que la tutelle n’ait pas précisé les raisons de ce changement à la tête de l’Université, cette décision intervient dans le sillage du scandale de vente de diplômes qui a bouleversé l’Université Ibn Zohr. L’affaire a conduit à l’arrestation du professeur de droit public Ahmed Kilech, enseignant au sein de l’établissement, placé en détention préventive le 13 mai 2025 à la prison de l’Oudaya à Marrakech.
Il est soupçonné d’avoir manipulé l’inscription et l’admission de plusieurs étudiants dans le master intitulé « Système pénal et gouvernance sécuritaire », qu’il dirigeait.
Il est également accusé d’avoir délivré des diplômes universitaires contre rémunération, dans le cadre d’une enquête ouverte pour trafic présumé de titres académiques.
Le nouveau président succédera à l’ancien responsable, Abdelaziz Bendo, et assurera ses fonctions à compter du mercredi 11 juin 2025, et ce jusqu’à la nomination d’un nouveau responsable, afin de garantir le bon fonctionnement de l’université durant cette période de transition.
Bien que la tutelle n’ait pas précisé les raisons de ce changement à la tête de l’Université, cette décision intervient dans le sillage du scandale de vente de diplômes qui a bouleversé l’Université Ibn Zohr. L’affaire a conduit à l’arrestation du professeur de droit public Ahmed Kilech, enseignant au sein de l’établissement, placé en détention préventive le 13 mai 2025 à la prison de l’Oudaya à Marrakech.
Il est soupçonné d’avoir manipulé l’inscription et l’admission de plusieurs étudiants dans le master intitulé « Système pénal et gouvernance sécuritaire », qu’il dirigeait.
Il est également accusé d’avoir délivré des diplômes universitaires contre rémunération, dans le cadre d’une enquête ouverte pour trafic présumé de titres académiques.