La polémique liée à l’école Balzac à Kenitra a pris une ampleur nationale au point d'arriver au Parlement. La députée du PAM, Hanane Atarguine, a écrit au ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, pour signaler les pratiques des établissements relevant de la mission française, qui selon elle, portent atteinte à la morale et aux constantes de la Nation.
Dans une lettre écrite adressée au chef de la diplomatie marocaine, la députée a rappelé que « ce genre de comportement inopiné a suscité la colère des parents d’élèves qui refusent que l’espace éducatif soit transformé en un lieu de diffusion d’agendas politiques ».
La députée a réagi ainsi à l’attitude d’une institutrice qui a fait l’apologie des valeurs LGTB et de l’homosexualité lors d’un cours destiné à des élèves de 7 à 9 ans. Ceci a scandalisé les parents d’élèves qui ont été choqués d’apprendre que celle-ci a montré des images impudiques de personnes de même sexe. Les parents ont fini par déposer plainte auprès de l’administration qui a décidé finalement de suspendre l’institutrice pour « manquement grave dans sa posture professionnelle et ses pratiques pédagogiques ».
En parallèle, une enquête a été ouverte par le Parquet compétent près du Tribunal de première instance de Kénitra. C’est ce qu’a annoncé l’avocat des parents d’élèves, Me Abderahim Jamai, sur son compte Facebook.
Par ailleurs, la députée du PAM est revenue sur plusieurs comportements jugées déplacés qui auraient eu lieu dans des établissements relevant de la mission française dont les médias se font faits écho ces derniers jours. Selon ce qui a été relayé par plusieurs supports médiatiques, plusieurs établissements ont été accusés d’empêcher leurs employés de faire la prière. Une information démentie par le Lycée Lyautey qui, dans une mise au point envoyée exclusivement à « L’Opinion », a indiqué qu’il est inconcevable que de telles pratiques aient eu dans son enceinte.
La députée a évoqué d’autres incidents mentionnés dans les articles médiatiques tels que l’exposition d’une carte tronquée du Maroc. Elle a demandé au ministre de rendre compte des mesures prises par les autorités marocains afin de garantir le respect des valeurs nationales par les établissements relavant de la mission française.
Dans une lettre écrite adressée au chef de la diplomatie marocaine, la députée a rappelé que « ce genre de comportement inopiné a suscité la colère des parents d’élèves qui refusent que l’espace éducatif soit transformé en un lieu de diffusion d’agendas politiques ».
La députée a réagi ainsi à l’attitude d’une institutrice qui a fait l’apologie des valeurs LGTB et de l’homosexualité lors d’un cours destiné à des élèves de 7 à 9 ans. Ceci a scandalisé les parents d’élèves qui ont été choqués d’apprendre que celle-ci a montré des images impudiques de personnes de même sexe. Les parents ont fini par déposer plainte auprès de l’administration qui a décidé finalement de suspendre l’institutrice pour « manquement grave dans sa posture professionnelle et ses pratiques pédagogiques ».
En parallèle, une enquête a été ouverte par le Parquet compétent près du Tribunal de première instance de Kénitra. C’est ce qu’a annoncé l’avocat des parents d’élèves, Me Abderahim Jamai, sur son compte Facebook.
Par ailleurs, la députée du PAM est revenue sur plusieurs comportements jugées déplacés qui auraient eu lieu dans des établissements relevant de la mission française dont les médias se font faits écho ces derniers jours. Selon ce qui a été relayé par plusieurs supports médiatiques, plusieurs établissements ont été accusés d’empêcher leurs employés de faire la prière. Une information démentie par le Lycée Lyautey qui, dans une mise au point envoyée exclusivement à « L’Opinion », a indiqué qu’il est inconcevable que de telles pratiques aient eu dans son enceinte.
La députée a évoqué d’autres incidents mentionnés dans les articles médiatiques tels que l’exposition d’une carte tronquée du Maroc. Elle a demandé au ministre de rendre compte des mesures prises par les autorités marocains afin de garantir le respect des valeurs nationales par les établissements relavant de la mission française.