Le ministère de l'Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural, des Eaux et Forêts, le ministère de l'Energie, des Mines et de l'Environnement et le ministère de la Santé, en collaboration avec l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE) et l'Organisation mondiale de la santé (OMS), ont lancé, ce mardi, un projet stratégique de « Soutien de la mise en œuvre du Plan d’Action National de lutte contre la résistance aux antimicrobiens à travers une approche One Health au Maroc », réaffirmant ainsi leur engagement à fournir un leadership multisectoriel et collaboratif pour relever les défis de la santé.
Formulé en 2019, ce projet de 1 million USD devrait opérer sur une période de 18 mois. Il se veut un cadre pour la mise en œuvre de cette collaboration qui vient en appui au Plan Stratégique National (PAN) pour la prévention et le contrôle de la résistance aux antimicrobiens au Maroc. Cette collaboration englobe l'approche "une seule santé" reconnaissant que la santé humaine et animale ainsi que l'environnement sont interconnectés et sont réellement pris en compte à tous les niveaux.
En effet, une forte coordination à l'interface homme-animal-environnement peut soutenir la préparation à plusieurs risques pour faire face aux menaces existantes et être suffisamment flexible pour anticiper les menaces à l'horizon. De même, un travail en commun dans tous les secteurs pour renforcer les systèmes de santé publique dans leur ensemble, ne peut que réduire les risques et aider à maximiser un développement sain, à long terme et durable.
Formulé en 2019, ce projet de 1 million USD devrait opérer sur une période de 18 mois. Il se veut un cadre pour la mise en œuvre de cette collaboration qui vient en appui au Plan Stratégique National (PAN) pour la prévention et le contrôle de la résistance aux antimicrobiens au Maroc. Cette collaboration englobe l'approche "une seule santé" reconnaissant que la santé humaine et animale ainsi que l'environnement sont interconnectés et sont réellement pris en compte à tous les niveaux.
En effet, une forte coordination à l'interface homme-animal-environnement peut soutenir la préparation à plusieurs risques pour faire face aux menaces existantes et être suffisamment flexible pour anticiper les menaces à l'horizon. De même, un travail en commun dans tous les secteurs pour renforcer les systèmes de santé publique dans leur ensemble, ne peut que réduire les risques et aider à maximiser un développement sain, à long terme et durable.
Kawtar CHAAT
