S’il y a douleur au mollet suite à une activité sportive, cela peut être une courbature ou une contracture. Les causes sont le manque d’échauffement, d’étirement, d’hydratation, ou une activité trop intense. Les douleurs apparaissent dans les 24 heures, et on les différencies par leur intensité et le temps pour se remettre. Ensuite, il y a les élongations musculaires : ce sont les fibres du muscle qui se déchirent pendant l’activité. Cela entraîne une douleur brutale pendant l’effort, et un boitage plus ou moins important selon la gravité.
Une douleur du mollet, qui peut remonter sur la cuisse, peut aussi être le signe d’une pathologie, en général la thrombose veineuse profonde, ou phlébite. Il s’agit d’un caillou de sang au niveau d’une veine dans le membre inférieur, et qui va bloquer le retour veineux.
Il existe autant de traitements que de causes de douleurs au mollet. Dans le cas d’une douleur musculaire, le traitement repose sur la prise d’antalgiques et parfois des séances de kinésithérapie.
Dans le cas d’une phlébite, le port de bas de contention et la prise d’un traitement anticoagulant sur une durée fixée en fonction du contexte sont incontournables. La marche favorise la bonne circulation sanguine dans les membres inférieurs, de même qu’une surélévation des jambes, qui peut être parfois nécessaire.
Une douleur du mollet, qui peut remonter sur la cuisse, peut aussi être le signe d’une pathologie, en général la thrombose veineuse profonde, ou phlébite. Il s’agit d’un caillou de sang au niveau d’une veine dans le membre inférieur, et qui va bloquer le retour veineux.
Il existe autant de traitements que de causes de douleurs au mollet. Dans le cas d’une douleur musculaire, le traitement repose sur la prise d’antalgiques et parfois des séances de kinésithérapie.
Dans le cas d’une phlébite, le port de bas de contention et la prise d’un traitement anticoagulant sur une durée fixée en fonction du contexte sont incontournables. La marche favorise la bonne circulation sanguine dans les membres inférieurs, de même qu’une surélévation des jambes, qui peut être parfois nécessaire.
Zakaria CHIHAB, Kinésithérapeute - Physiothérapeute