Des internautes de la ville de Salé viennent de lancer une campagne sur les réseaux sociaux pour déplorer la multiplication des meutes de chiens qui envahissent la ville et menacent leur santé. En ville, le nombre de chiens errants semble augmenter, surtout après le confinement et en raison surtout de l’accumulation des ordures et l’inefficacité des moyens de lutte.
En effet, des hordes de chiens errants ne cessent de grossir et de se multiplier. Partout, dans les rues, les ronds-points, les places et autour des poubelles, « les chiens errants rodent en groupes parfois de plusieurs dizaines d’individus, on ne peut plus sortir tôt le matin sans avoir peur pour sa vie », déplore une jeune fille sur le groupe « Les habitants de Sala- El Jadida ».
D’autres s’affligent le manque de sommeil à cause des aboiements continus durant la nuit des meutes de chiens « Chaque soir c’est le même cauchemar, on n’arrive plus à dormir le soir correctement et ça influence notre santé et notre rentabilité au travail même », nous déclare un habitant de la ville. D’ailleurs, les chiens représentent un réel danger public pour la santé des citoyens.
De nombreuses zoonoses peuvent être transmises à l’homme dont la rage, vue que le chien errant représente le principal réservoir et vecteur du virus. Il le transmet par la salive, par morsures, griffures ou léchage sur peau abimée, aux autres animaux et à l’homme. Ainsi, de nombreuses personnes sont mordues chaque année par des chiens errants, certains meurent de la rage. Et malgré de longues années passées dans la lutte contre la rage, le Maroc n’arrive pas à éradiquer cette maladie mortelle et incurable.
Création d’une clinique vétérinaire
En réponse à cette campagne digitale, M. Omar Sentissi, Maire de la ville de Salé a confirmé qu’un travail de ramassage de chiens errants se fait tous les jours. « La seule nouveauté qu’il y a c’est qu’on n’a plus le droit ni de les empoisonner ni de les abattre en public », ce qui explique le nombre croissant de ces chiens dans les rues de la ville. Toutefois, « pour trouver une solution concrète à ce problème, au niveau de la wilaya nous avons lancé le projet de construction d’une clinique vétérinaire », nous déclare M. Sentissi.
Le responsable istiqlalien annonce que l’appel d’offres a été déjà publié et que le projet a un délai de 6 mois pour être prêt. Cette clinique va accueillir les chiens errants, les vacciner et les stériliser. Ainsi, les chiens deviendront plus calmes et moins agressifs et vont se retrouver en meilleure santé.
En effet, des hordes de chiens errants ne cessent de grossir et de se multiplier. Partout, dans les rues, les ronds-points, les places et autour des poubelles, « les chiens errants rodent en groupes parfois de plusieurs dizaines d’individus, on ne peut plus sortir tôt le matin sans avoir peur pour sa vie », déplore une jeune fille sur le groupe « Les habitants de Sala- El Jadida ».
D’autres s’affligent le manque de sommeil à cause des aboiements continus durant la nuit des meutes de chiens « Chaque soir c’est le même cauchemar, on n’arrive plus à dormir le soir correctement et ça influence notre santé et notre rentabilité au travail même », nous déclare un habitant de la ville. D’ailleurs, les chiens représentent un réel danger public pour la santé des citoyens.
De nombreuses zoonoses peuvent être transmises à l’homme dont la rage, vue que le chien errant représente le principal réservoir et vecteur du virus. Il le transmet par la salive, par morsures, griffures ou léchage sur peau abimée, aux autres animaux et à l’homme. Ainsi, de nombreuses personnes sont mordues chaque année par des chiens errants, certains meurent de la rage. Et malgré de longues années passées dans la lutte contre la rage, le Maroc n’arrive pas à éradiquer cette maladie mortelle et incurable.
Création d’une clinique vétérinaire
En réponse à cette campagne digitale, M. Omar Sentissi, Maire de la ville de Salé a confirmé qu’un travail de ramassage de chiens errants se fait tous les jours. « La seule nouveauté qu’il y a c’est qu’on n’a plus le droit ni de les empoisonner ni de les abattre en public », ce qui explique le nombre croissant de ces chiens dans les rues de la ville. Toutefois, « pour trouver une solution concrète à ce problème, au niveau de la wilaya nous avons lancé le projet de construction d’une clinique vétérinaire », nous déclare M. Sentissi.
Le responsable istiqlalien annonce que l’appel d’offres a été déjà publié et que le projet a un délai de 6 mois pour être prêt. Cette clinique va accueillir les chiens errants, les vacciner et les stériliser. Ainsi, les chiens deviendront plus calmes et moins agressifs et vont se retrouver en meilleure santé.
Pré- projet pour le bien-être animal
En 2013, un pré-projet sur le bien-être avait été publié sur le site du SGG. Le texte est intitulé: « Les mesures relatives à la santé animale, au bien-être des animaux et à l’inspection sanitaire vétérinaire des produits alimentaires d’origine animale, des aliments pour animaux et des sous-animaux ». Cet avant-projet de loi, bien qu’évoquant des mesures contre la maltraitance animale, se focalise principalement sur l’amélioration des normes sanitaires « liées aux productions animales depuis l’animal vivant jusqu’aux denrées d’origine animale ».