Qu’il soit physique ou mental, le handicap constitue, au Maroc comme partout dans le monde, un obstacle que peine à surmonter toute personne dite handicapée - bien loin de toute nuance péjorative -. D’une intégration scolaire ou professionnelle souvent non réussie à une délicate inclusion dans la société, qui lui quasi-tourne le dos, passant par tout un tas de difficultés, cette catégorie de citoyens aspire au changement, au respect et à l’équité des chances.
Afin de présenter officiellement au président du Conseil de la Commune urbaine, maire de la ville de Salé le « Plan Territorial du Handicap », le Centre local d’information et d’orientation (CLIO) des personnes en situation de handicap de l’Association Bouregreg, avec l’appui du programme DAAM de l’ambassade britannique au Maroc et en collaboration avec l’Instance Locale du Handicap à Salé, ont organisé, mardi 8 février au Club scientifique de l’Association Bouregreg, un séminaire de clôture du « Projet de Dialogue Territorial Structuré » (Tachawor). Ce plan a été réalisé dans le cadre d’un processus de concertation entre les élus locaux et les représentants de la société civile.
La présentation du plan a été faite en présence de l’ambassadeur du Royaume Uni, Simon Martin, du Maire de Salé, Omar Sentissi, des présidents des arrondissements de la ville de Salé, du président de l’association Bouregreg et des représentants de la société civile, et ce dans le but d’accompagner à l’échelle locale, l’ensemble des intervenants en matière de développement (élus, établissements et associations) pour convenir de la politique de développement intégré à mettre en place en vue de garantir aux personnes handicapées, le droit d’accéder aux mêmes prestations et activités offertes à tous les citoyens.
Dans le même contexte, Omar Sentissi, Maire de la ville de Salé, a précisé que « dans un contexte où l’inclusion des personnes en situation de handicap est l’un des engagements de notre pays, il est inscrit dans nos lois mais décliné dans les programmes gouvernementaux », ajoutant qu’« il est plus qu’indispensable de trouver aujourd’hui des solutions pratiques, innovantes, réalistes et spécifiques à chaque territoire pour une participation pleine et entière des personnes en situation de handicap et une mise en oeuvre des engagements de l’Etat vis-à-vis de ces personnes ».
Pour sa part, Simon Martin, ambassadeur du Royaume Uni, a exprimé sa fierté de la collaboration fructueuse avec les associations marocaines et la société civile au long de 3 ans dans le cadre du programme DAAM. « Dans ce sens, nous avons créé ensemble un dynamisme marocain unique qu’on souhaite maintenir et développer dans le futur », s’est-il félicité.
Afin de présenter officiellement au président du Conseil de la Commune urbaine, maire de la ville de Salé le « Plan Territorial du Handicap », le Centre local d’information et d’orientation (CLIO) des personnes en situation de handicap de l’Association Bouregreg, avec l’appui du programme DAAM de l’ambassade britannique au Maroc et en collaboration avec l’Instance Locale du Handicap à Salé, ont organisé, mardi 8 février au Club scientifique de l’Association Bouregreg, un séminaire de clôture du « Projet de Dialogue Territorial Structuré » (Tachawor). Ce plan a été réalisé dans le cadre d’un processus de concertation entre les élus locaux et les représentants de la société civile.
La présentation du plan a été faite en présence de l’ambassadeur du Royaume Uni, Simon Martin, du Maire de Salé, Omar Sentissi, des présidents des arrondissements de la ville de Salé, du président de l’association Bouregreg et des représentants de la société civile, et ce dans le but d’accompagner à l’échelle locale, l’ensemble des intervenants en matière de développement (élus, établissements et associations) pour convenir de la politique de développement intégré à mettre en place en vue de garantir aux personnes handicapées, le droit d’accéder aux mêmes prestations et activités offertes à tous les citoyens.
Dans le même contexte, Omar Sentissi, Maire de la ville de Salé, a précisé que « dans un contexte où l’inclusion des personnes en situation de handicap est l’un des engagements de notre pays, il est inscrit dans nos lois mais décliné dans les programmes gouvernementaux », ajoutant qu’« il est plus qu’indispensable de trouver aujourd’hui des solutions pratiques, innovantes, réalistes et spécifiques à chaque territoire pour une participation pleine et entière des personnes en situation de handicap et une mise en oeuvre des engagements de l’Etat vis-à-vis de ces personnes ».
Pour sa part, Simon Martin, ambassadeur du Royaume Uni, a exprimé sa fierté de la collaboration fructueuse avec les associations marocaines et la société civile au long de 3 ans dans le cadre du programme DAAM. « Dans ce sens, nous avons créé ensemble un dynamisme marocain unique qu’on souhaite maintenir et développer dans le futur », s’est-il félicité.
Hiba CHAKER
Programme DAAM : collaboration maroco-britannique
Le projet DAAM est une initiative de l’ambassade britannique au Maroc en faveur du développement de la capacité organisationnelle de la société civile marocaine axée sur la recherche et sur le plaidoyer. L’objectif du programme est de contribuer au développement, au Maroc, d’une société civile plus forte, plus durable et plus inclusive permettant de renforcer son efficacité et son impact, consolider ses actions en vue d’approfondir la réflexion et façonner le débat sur les politiques publiques et affermir son rôle visant à renforcer les liens entre les citoyens et l’Etat.
