John Bolton, ancien conseiller de Donald Trump.
En perte d’influence à Washington, l’Algérie a refait appel à son vieil allié John Bolton, l’ancien conseiller de Donald Trump, pour défendre le Polisario. Dans une tribune publiée dans le Washington Times, ce diplomate déchu, reconverti en commentateur, s’emploie à nier le caractère terroriste du Polisario et ses liens avérés avec l’Iran et les groupes armés du Sahel. Le timing n’est pas fortuit du moment qu’Alger mise sur ses derniers relais à Washington pour empêcher l’inscription du front séparatiste dans la liste noire des organisations terroristes, en cas d’adoption de la proposition de loi portée par le Républicain Joe Wilson au Congrès. Une perspective qui semble plus que probable. Décryptage.
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