Dans la capitale russe, Staffan de Mistura a centré ses discussions sur « l’état et les perspectives du processus de paix au Sahara occidental », selon un communiqué du ministère russe des Affaires étrangères. Moscou a réaffirmé son attachement à un règlement politique « juste, durable et mutuellement acceptable » sous l’égide des Nations unies, en conformité avec la Charte de l’ONU et les résolutions pertinentes du Conseil de sécurité.
La diplomatie russe a souligné que la résolution de ce différend, qui perdure depuis près d’un demi-siècle, constitue un enjeu majeur pour la stabilité en Afrique du Nord ainsi que dans la région Sahara-Sahel. Dans ce cadre, Moscou a plaidé pour un renforcement des moyens humains et matériels de la MINURSO, afin de lui permettre de poursuivre sa mission de stabilisation sur le terrain.
La Russie, qui exercera en octobre la présidence tournante du Conseil de sécurité, entend ainsi peser davantage dans les débats relatifs à la question du Sahara. Ce positionnement illustre la volonté de Moscou d’affirmer son rôle au sein des instances multilatérales, à un moment où le dossier saharien connaît de nouvelles dynamiques diplomatiques.
La veille, le 17 septembre, Staffan de Mistura s’était entretenu à Alger avec le chef de la diplomatie algérienne, Ahmed Attaf, dans le cadre de ses consultations régulières avec les parties concernées et les acteurs influents.
La diplomatie russe a souligné que la résolution de ce différend, qui perdure depuis près d’un demi-siècle, constitue un enjeu majeur pour la stabilité en Afrique du Nord ainsi que dans la région Sahara-Sahel. Dans ce cadre, Moscou a plaidé pour un renforcement des moyens humains et matériels de la MINURSO, afin de lui permettre de poursuivre sa mission de stabilisation sur le terrain.
La Russie, qui exercera en octobre la présidence tournante du Conseil de sécurité, entend ainsi peser davantage dans les débats relatifs à la question du Sahara. Ce positionnement illustre la volonté de Moscou d’affirmer son rôle au sein des instances multilatérales, à un moment où le dossier saharien connaît de nouvelles dynamiques diplomatiques.
La veille, le 17 septembre, Staffan de Mistura s’était entretenu à Alger avec le chef de la diplomatie algérienne, Ahmed Attaf, dans le cadre de ses consultations régulières avec les parties concernées et les acteurs influents.