La nouvelle résolution du Conseil de sécurité sur le Sahara, attendue le 27 de ce mois, risque d'enquiquiner le voisin de l'Est. L'instance exécutive de l'ONU se montre claire en ce qui concerne la reprise du processus politique : l'issue de ce conflit devra passer par des négociations, incluant «toutes les parties prenantes», nommément «le Maroc, le Polisario, la Mauritanie et l’Algérie», en vue d’une solution «juste, durable et mutuellement acceptable, basée sur le compromis».
La communication en temps de crise
L'Algérie est, importe-t-il de mentionner, citée quatre fois dans le projet de résolution onusienne. Lequel projet, dont le porte-parole est l'Oncle Sam, insiste sur l'importance des tables rondes réunissant les différentes parties au conflit et exhorte à leur reprise, rappelant que la première table ronde s'est tenue les 5 et 6 décembre 2018 et que la deuxième a eu lieu les 21 et 22 mars 2019. Depuis, l'Algérie a cessé de faire part de ces rencontres mais a continué à exprimer son inquiétude vis-à-vis du Maroc.
Quoi qu'il en soit, le projet de résolution du Conseil de sécurité appuie «la continuité des consultations entre l'envoyé personnel et le Maroc, le Front Polisario, l'Algérie et la Mauritanie», et invite les quatre parties à s’engager avec l'envoyé personnel «pendant toute la durée de ce processus, dans un esprit de réalisme et compromis».
La communication en temps de crise
L'Algérie est, importe-t-il de mentionner, citée quatre fois dans le projet de résolution onusienne. Lequel projet, dont le porte-parole est l'Oncle Sam, insiste sur l'importance des tables rondes réunissant les différentes parties au conflit et exhorte à leur reprise, rappelant que la première table ronde s'est tenue les 5 et 6 décembre 2018 et que la deuxième a eu lieu les 21 et 22 mars 2019. Depuis, l'Algérie a cessé de faire part de ces rencontres mais a continué à exprimer son inquiétude vis-à-vis du Maroc.
Quoi qu'il en soit, le projet de résolution du Conseil de sécurité appuie «la continuité des consultations entre l'envoyé personnel et le Maroc, le Front Polisario, l'Algérie et la Mauritanie», et invite les quatre parties à s’engager avec l'envoyé personnel «pendant toute la durée de ce processus, dans un esprit de réalisme et compromis».