Youssef Amrani en compagnie de plusieurs diplomates, dont le Secrétaire d'Etat adjoint pour l'Afrique du Nord, Joshua Harris pendant un déjeuner de travail.
Le nouvel ambassadeur du Maroc aux Etats-Unis, Youssef Amrani, démarre son périple américain avec une série de rencontres. Après avoir fait le tour du cercle diplomatique, il a été reçu, ce mardi, par la secrétaire d’Etat adjointe américaine aux Affaires du Proche-Orient, Barbara Leaf, au siège du Département d’Etat. Une rencontre formelle durant laquelle les deux responsables ont examiné les perspectives d’une coopération innovante entre Rabat et Washington. C’est ce qui ressort du communiqué officiel.
Youssef Amrani et la diplomate américaine se sont félicités de l’excellence des relations entre les deux pays tout en faisant part de leur volonté commune de voir le partenariat bilatéral approfondi et diversifié. Pour ce qui est des questions régionales et internationales d’intérêt commun, les deux responsables ont fait état d’une convergence de vues sur plusieurs dossiers en Afrique et au Moyen Orient.
Avant cette rencontre, la première du genre, Youssef Amrani a pris part à un déjeuner de travail en compagnie de plusieurs personnalités diplomatiques, dont le Secrétaire d’Etat adjoint pour l’Afrique du Nord, Joshua Harris, qui a visité le Maroc, il y a quelques semaines, dans le cadre d’une tournée régionale.
Le “Monsieur Sahara”, comme l’appelle la presse marocaine, accélère le rythme des discussions avec les différentes parties concernées, dont l’Algérie, afin de trouver une solution rapide au conflit du Sahara. Washington semble vouloir trouver une solution sans tarder à ce conflit qui n’a que trop duré. Selon plusieurs rapports médiatiques américains, Joshua Harris aurait parlé avec les responsables algériens de la possibilité de contribuer à trouver une solution réaliste et de renoncer à son bellicisme à l’égard du Maroc. Ceci n’a guère plu au régime d’Alger qui, faute de pouvoir fulminer publiquement, a manifesté sa colère en interdisant d’accès à son espace aérien un avion militaire américain.
L’administration américaine, rappelons-le, a fait un virage réaliste ces derniers temps dans sa façon de concevoir une solution au conflit du Sahara. Un virage qui serait dans l’intérêt du Maroc puisque les Etats Unis semblent vouloir pousser l’Algérie à participer aux tables rondes tout en maintenant sa reconnaissance de la marocanité du Sahara.
Youssef Amrani et la diplomate américaine se sont félicités de l’excellence des relations entre les deux pays tout en faisant part de leur volonté commune de voir le partenariat bilatéral approfondi et diversifié. Pour ce qui est des questions régionales et internationales d’intérêt commun, les deux responsables ont fait état d’une convergence de vues sur plusieurs dossiers en Afrique et au Moyen Orient.
Avant cette rencontre, la première du genre, Youssef Amrani a pris part à un déjeuner de travail en compagnie de plusieurs personnalités diplomatiques, dont le Secrétaire d’Etat adjoint pour l’Afrique du Nord, Joshua Harris, qui a visité le Maroc, il y a quelques semaines, dans le cadre d’une tournée régionale.
Le “Monsieur Sahara”, comme l’appelle la presse marocaine, accélère le rythme des discussions avec les différentes parties concernées, dont l’Algérie, afin de trouver une solution rapide au conflit du Sahara. Washington semble vouloir trouver une solution sans tarder à ce conflit qui n’a que trop duré. Selon plusieurs rapports médiatiques américains, Joshua Harris aurait parlé avec les responsables algériens de la possibilité de contribuer à trouver une solution réaliste et de renoncer à son bellicisme à l’égard du Maroc. Ceci n’a guère plu au régime d’Alger qui, faute de pouvoir fulminer publiquement, a manifesté sa colère en interdisant d’accès à son espace aérien un avion militaire américain.
L’administration américaine, rappelons-le, a fait un virage réaliste ces derniers temps dans sa façon de concevoir une solution au conflit du Sahara. Un virage qui serait dans l’intérêt du Maroc puisque les Etats Unis semblent vouloir pousser l’Algérie à participer aux tables rondes tout en maintenant sa reconnaissance de la marocanité du Sahara.