Le chanteur marocain Saad Lamjarred, figure majeure de la scène musicale arabe, fait de nouveau face à la justice française. Lundi 27 mai, il a comparu libre sous contrôle judiciaire devant la cour d’assises d’appel du Val-de-Marne pour répondre des accusations de viol et de violences aggravées portées contre lui. Le procès, qui se tient à huis clos à la demande de la partie civile, devrait s’achever vendredi 31 mai avec l’annonce du verdict.
Ce nouveau procès intervient après que l’artiste a fait appel de sa condamnation en première instance. En février 2023, la cour d’assises de Paris l’avait reconnu coupable d’avoir violé et frappé une jeune femme de 20 ans dans une chambre d’hôtel parisienne, à l’issue d’une soirée en boîte de nuit en octobre 2016. Il avait été condamné à six ans de réclusion criminelle.
Durant ce premier procès, la victime avait livré un témoignage détaillé des faits, décrivant des rapports sexuels non consentis et des violences physiques. De son côté, Saad Lamjarred avait nié les faits de viol, reconnaissant uniquement une bousculade au visage, expliquant que la jeune femme l’aurait griffé alors qu’ils s’embrassaient. Il avait nié toute relation sexuelle avec elle.
À la demande des avocats de la partie civile, la nouvelle audience se déroule à huis clos, une disposition exceptionnelle accordée par la cour d’appel au regard de la sensibilité de l’affaire et du retentissement médiatique du dossier. Selon Mes Victorien de Faria et David Chemmi, avocats de la plaignante, cités par l’AFP, « ce nouveau procès représente bien plus qu’une procédure : c’est l’espoir d’une justice pleinement et définitivement rendue ».
Du côté de la défense, les avocats de l’artiste, Mes Zoé Royaux et Christian Saint-Palais, n’ont pas souhaité commenter l’affaire avant l’ouverture du procès.
Outre l’affaire parisienne de 2016, l’artiste est visé par une autre procédure en France. Il doit être jugé par la cour d’assises du Var pour des faits similaires qui se seraient produits à Saint-Tropez en 2018. Cette audience n’a pas encore été fixée. Par ailleurs, il a été mis en cause dans deux autres affaires de viol présumés à New York et à Casablanca, bien que ces dossiers n’aient pas abouti à des condamnations à ce stade.
Ce nouveau procès intervient après que l’artiste a fait appel de sa condamnation en première instance. En février 2023, la cour d’assises de Paris l’avait reconnu coupable d’avoir violé et frappé une jeune femme de 20 ans dans une chambre d’hôtel parisienne, à l’issue d’une soirée en boîte de nuit en octobre 2016. Il avait été condamné à six ans de réclusion criminelle.
Durant ce premier procès, la victime avait livré un témoignage détaillé des faits, décrivant des rapports sexuels non consentis et des violences physiques. De son côté, Saad Lamjarred avait nié les faits de viol, reconnaissant uniquement une bousculade au visage, expliquant que la jeune femme l’aurait griffé alors qu’ils s’embrassaient. Il avait nié toute relation sexuelle avec elle.
À la demande des avocats de la partie civile, la nouvelle audience se déroule à huis clos, une disposition exceptionnelle accordée par la cour d’appel au regard de la sensibilité de l’affaire et du retentissement médiatique du dossier. Selon Mes Victorien de Faria et David Chemmi, avocats de la plaignante, cités par l’AFP, « ce nouveau procès représente bien plus qu’une procédure : c’est l’espoir d’une justice pleinement et définitivement rendue ».
Du côté de la défense, les avocats de l’artiste, Mes Zoé Royaux et Christian Saint-Palais, n’ont pas souhaité commenter l’affaire avant l’ouverture du procès.
Outre l’affaire parisienne de 2016, l’artiste est visé par une autre procédure en France. Il doit être jugé par la cour d’assises du Var pour des faits similaires qui se seraient produits à Saint-Tropez en 2018. Cette audience n’a pas encore été fixée. Par ailleurs, il a été mis en cause dans deux autres affaires de viol présumés à New York et à Casablanca, bien que ces dossiers n’aient pas abouti à des condamnations à ce stade.