Cet événement, couronnement de près de deux décennies d’action diplomatique clairvoyante et de persévérance royale, ne constitue nullement un aboutissement, mais bien le point de départ d’une refondation politique et institutionnelle d’envergure. Sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, que Dieu L’assiste, le Maroc s’apprête à ouvrir une nouvelle phase de son histoire nationale, marquée par la consolidation de son intégrité territoriale, le renforcement de sa cohésion interne et la concrétisation d’un modèle d’autonomie porteur de stabilité, de prospérité et de légitimité internationale.
Un tournant décisif dans la trajectoire du Royaume
Dix-huit ans après l’annonce par Sa Majesté le Roi Mohamed VI de l’Initiative marocaine d’autonomie, le Royaume aborde une phase politique et institutionnelle d’une portée inédite. Répondant à l’Appel Royal, le Maroc a engagé un vaste cycle de concertations nationales, réunissant l’ensemble des composantes de la Nation : formations politiques, élus des provinces du Sud, institutions constitutionnelles et acteurs de la société civile.
L’enjeu dépasse désormais la simple défense d’une proposition : il s’agit d’en ériger les fondations juridiques, constitutionnelles et opérationnelles. Conçu en 2007 dans un contexte géopolitique profondément différent, le plan d’autonomie fait aujourd’hui l’objet d’une relecture éclairée à la lumière des progrès accomplis par le Maroc contemporain, notamment la Constitution de 2011, la mise en œuvre de la régionalisation avancée, la consolidation du processus de décentralisation et la montée en puissance des institutions territoriales.
La réunion stratégique du 10 novembre 2025, tenue à Rabat sous la présidence des conseillers de Sa Majesté le Roi et en présence des chefs de partis politiques, a marqué une étape décisive dans ce processus. Le cap Royal y a été clairement défini : faire du Sahara Marocain un modèle d’autonomie avancée, fondé sur la bonne gouvernance, la transparence institutionnelle et la participation citoyenne effective.
Les formations politiques ont été invitées à présenter leurs propositions de manière constructive et responsable, non comme une formalité, mais comme une contribution directe à l’édification d’un nouveau pacte national. Ce pacte, inspiré de la vision de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, vise à consolider un Maroc uni dans sa souveraineté, fort de sa cohésion, et riche de la diversité de ses composantes régionales et humaines.
Le souffle d’une vision royale
Dès son origine, le projet d’autonomie initié par Sa Majesté le Roi Mohamed VI s’inscrit dans une philosophie politique authentiquement marocaine, fondée sur la recherche du juste équilibre entre la souveraineté nationale et la responsabilité régionale. Cette vision, empreinte de réalisme et de clairvoyance, traduit la volonté du Souverain d’ériger le Sahara Marocain en espace d’unité, de stabilité et de rayonnement, plutôt qu’en simple territoire à intégrer.
Sous l’impulsion royale, le Sahara Marocain est désormais envisagé comme un levier stratégique au cœur du développement global du Royaume, un pôle de croissance et d’innovation appelé à renforcer la cohésion nationale tout en valorisant la richesse humaine et culturelle de ses provinces du Sud. Cette conception repose sur un triptyque fondamental : légitimité historique, cohésion nationale et prospérité partagée.
Alors que nombre d’États peinent à concilier décentralisation et stabilité, le Maroc, guidé par la sagesse de Sa Majesté le Roi, trace la voie d’une gouvernance territoriale harmonieuse et équilibrée. Fidèle à sa tradition séculaire de concertation et de consensus, le Royaume démontre qu’il est possible d’allier unité et diversité, centralité de l’État et autonomie régionale, dans un modèle politique profondément enraciné dans l’histoire tout en résolument tourné vers l’avenir.
Une victoire diplomatique, une recomposition géopolitique
La reconnaissance internationale du plan d’autonomie marocain ne relève nullement du hasard ; elle consacre, dans toute sa profondeur, la vision diplomatique de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, empreinte de constance, de clairvoyance et de légitimité historique. Fidèle à une diplomatie d’équilibre et de principe, le Souverain a su transformer un dossier complexe, longtemps perçu comme un sujet de tension, en un véritable levier de rayonnement régional et de leadership continental.
Le soutien affirmé des grandes puissances, des États-Unis à la France, en passant par l’Espagne, l’Allemagne, ainsi qu’une large majorité d’États africains et arabes, traduit une évolution géopolitique majeure : le Sahara Marocain est désormais perçu non plus comme un foyer de différends, mais comme un pôle de stabilité et de développement. L’ouverture croissante de consulats généraux à Laâyoune et à Dakhla illustre cette reconnaissance concrète de la souveraineté marocaine, tout en témoignant de la confiance renouvelée de la communauté internationale dans la vision royale d’un développement intégré, solidaire et durable.
Cependant, la portée de cette dynamique dépasse la seule dimension diplomatique. Dans un espace sahélo-maghrébin traversé par les instabilités et les incertitudes sécuritaires, le Maroc s’affirme comme un acteur pivot, un trait d’union entre l’Afrique, le monde arabe et l’Atlantique. Le Sahara Marocain s’impose ainsi comme un cœur géopolitique stratégique : à la fois socle territorial de la souveraineté nationale et tremplin d’influence régionale, il incarne la vision d’un Maroc pacifique, solidaire et visionnaire, fidèle à sa vocation historique de médiation, de coopération et de construction d’un avenir partagé.
Autonomie et développement : le binôme de la prospérité
Dans la pensée éclairée de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, l’autonomie ne se réduit pas à un simple cadre institutionnel ; elle constitue avant tout un moteur essentiel de développement humain, économique et territorial. Conçue comme une dynamique de progrès collectif, elle vise à doter les populations sahariennes des moyens de participer pleinement à la construction de leur avenir, dans le respect de la souveraineté nationale et de la cohésion du Royaume.
Depuis 2015, plus de quatre-vingts milliards de dirhams ont été investis dans les provinces du Sud dans le cadre de projets structurants d’une ampleur sans précédent. Ces initiatives comprennent la réalisation du grand port atlantique de Dakhla, la création de zones industrielles et logistiques, la modernisation des réseaux routiers et énergétiques, tels que la Voie Express Tiznit–Dakhla, reliant les provinces méridionales au reste du Royaume, ainsi que la mise en œuvre de programmes éducatifs et de formation adaptés aux besoins de la jeunesse locale. L’accès généralisé à l’eau potable et à l’électricité, ainsi que plusieurs projets touristiques ambitieux, notamment dans l’hôtellerie et l’écotourisme, sont également en cours de développement. Ces réalisations ont renforcé le tissu économique local et généré des milliers d’emplois directs et indirects, en particulier pour les jeunes et les femmes. Elles traduisent la volonté royale d’ériger le Sahara marocain en un pôle économique majeur, fondé sur la durabilité, l’innovation et la valorisation des potentialités humaines et naturelles.
Guidé par la vision stratégique de Sa Majesté le Roi, le Sahara Marocain s’affirme désormais comme un véritable centre d’impulsion économique et un espace d’intégration régionale. Carrefour entre l’Atlantique et le Sahel, il se positionne comme une passerelle d’échanges, de coopération et d’investissement, au service de la prospérité partagée.
Dans cette perspective, l’autonomie prend toute sa dimension : elle constitue l’ossature politique et institutionnelle, tandis que le développement en incarne la substance concrète. Ensemble, ils forment le socle d’un modèle marocain singulier, où l’unité nationale se conjugue à la vitalité locale, et où la souveraineté s’exprime à travers la justice territoriale, la participation citoyenne et une croissance inclusive.
Vers la finalisation du plan : le Maroc en marche
Les mois à venir s’annoncent décisifs dans la trajectoire institutionnelle et politique du Royaume. Ils seront ceux de la synthèse, de la précision et de la consolidation. Les groupes de travail, réunissant experts, représentants institutionnels, élus et acteurs régionaux, poursuivent leurs délibérations afin de définir les contours opérationnels de l’autonomie : répartition des compétences, articulation entre les institutions locales et nationales, mécanismes de financement, et dispositifs de contrôle démocratique. Ce chantier, conduit sous la haute supervision de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, s’inscrit dans une démarche empreinte d’écoute, de concertation et de rigueur méthodologique.
Cette phase d’approfondissement vise à traduire, dans le langage du droit et de la gouvernance, la vision royale d’une autonomie authentiquement marocaine — une autonomie enracinée dans la souveraineté nationale et portée par les principes d’efficacité, de transparence et de participation citoyenne. Chaque proposition, chaque ajustement, participe à l’édification d’un cadre institutionnel équilibré, garantissant à la fois la cohésion du Royaume et la responsabilité des acteurs locaux.
Une fois ce travail de consolidation achevé, le Maroc soumettra aux Nations Unies une version actualisée et enrichie du plan d’autonomie, fruit d’un long processus de maturation politique, de dialogue national et de reconnaissance internationale. Ce dépôt marquera une étape historique : celle d’un projet devenu réalité institutionnelle, mûri par le temps, légitimé par le consensus national et consacré par l’adhésion croissante de la communauté internationale.
Ainsi, le Royaume s’apprête à franchir un cap majeur dans l’histoire de sa diplomatie et de sa modernisation institutionnelle : celui d’un Maroc en marche, fidèle à sa souveraineté, maître de son destin et résolument tourné vers l’avenir.
Un tournant décisif dans la trajectoire du Royaume
Dix-huit ans après l’annonce par Sa Majesté le Roi Mohamed VI de l’Initiative marocaine d’autonomie, le Royaume aborde une phase politique et institutionnelle d’une portée inédite. Répondant à l’Appel Royal, le Maroc a engagé un vaste cycle de concertations nationales, réunissant l’ensemble des composantes de la Nation : formations politiques, élus des provinces du Sud, institutions constitutionnelles et acteurs de la société civile.
L’enjeu dépasse désormais la simple défense d’une proposition : il s’agit d’en ériger les fondations juridiques, constitutionnelles et opérationnelles. Conçu en 2007 dans un contexte géopolitique profondément différent, le plan d’autonomie fait aujourd’hui l’objet d’une relecture éclairée à la lumière des progrès accomplis par le Maroc contemporain, notamment la Constitution de 2011, la mise en œuvre de la régionalisation avancée, la consolidation du processus de décentralisation et la montée en puissance des institutions territoriales.
La réunion stratégique du 10 novembre 2025, tenue à Rabat sous la présidence des conseillers de Sa Majesté le Roi et en présence des chefs de partis politiques, a marqué une étape décisive dans ce processus. Le cap Royal y a été clairement défini : faire du Sahara Marocain un modèle d’autonomie avancée, fondé sur la bonne gouvernance, la transparence institutionnelle et la participation citoyenne effective.
Les formations politiques ont été invitées à présenter leurs propositions de manière constructive et responsable, non comme une formalité, mais comme une contribution directe à l’édification d’un nouveau pacte national. Ce pacte, inspiré de la vision de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, vise à consolider un Maroc uni dans sa souveraineté, fort de sa cohésion, et riche de la diversité de ses composantes régionales et humaines.
Le souffle d’une vision royale
Dès son origine, le projet d’autonomie initié par Sa Majesté le Roi Mohamed VI s’inscrit dans une philosophie politique authentiquement marocaine, fondée sur la recherche du juste équilibre entre la souveraineté nationale et la responsabilité régionale. Cette vision, empreinte de réalisme et de clairvoyance, traduit la volonté du Souverain d’ériger le Sahara Marocain en espace d’unité, de stabilité et de rayonnement, plutôt qu’en simple territoire à intégrer.
Sous l’impulsion royale, le Sahara Marocain est désormais envisagé comme un levier stratégique au cœur du développement global du Royaume, un pôle de croissance et d’innovation appelé à renforcer la cohésion nationale tout en valorisant la richesse humaine et culturelle de ses provinces du Sud. Cette conception repose sur un triptyque fondamental : légitimité historique, cohésion nationale et prospérité partagée.
Alors que nombre d’États peinent à concilier décentralisation et stabilité, le Maroc, guidé par la sagesse de Sa Majesté le Roi, trace la voie d’une gouvernance territoriale harmonieuse et équilibrée. Fidèle à sa tradition séculaire de concertation et de consensus, le Royaume démontre qu’il est possible d’allier unité et diversité, centralité de l’État et autonomie régionale, dans un modèle politique profondément enraciné dans l’histoire tout en résolument tourné vers l’avenir.
Une victoire diplomatique, une recomposition géopolitique
La reconnaissance internationale du plan d’autonomie marocain ne relève nullement du hasard ; elle consacre, dans toute sa profondeur, la vision diplomatique de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, empreinte de constance, de clairvoyance et de légitimité historique. Fidèle à une diplomatie d’équilibre et de principe, le Souverain a su transformer un dossier complexe, longtemps perçu comme un sujet de tension, en un véritable levier de rayonnement régional et de leadership continental.
Le soutien affirmé des grandes puissances, des États-Unis à la France, en passant par l’Espagne, l’Allemagne, ainsi qu’une large majorité d’États africains et arabes, traduit une évolution géopolitique majeure : le Sahara Marocain est désormais perçu non plus comme un foyer de différends, mais comme un pôle de stabilité et de développement. L’ouverture croissante de consulats généraux à Laâyoune et à Dakhla illustre cette reconnaissance concrète de la souveraineté marocaine, tout en témoignant de la confiance renouvelée de la communauté internationale dans la vision royale d’un développement intégré, solidaire et durable.
Cependant, la portée de cette dynamique dépasse la seule dimension diplomatique. Dans un espace sahélo-maghrébin traversé par les instabilités et les incertitudes sécuritaires, le Maroc s’affirme comme un acteur pivot, un trait d’union entre l’Afrique, le monde arabe et l’Atlantique. Le Sahara Marocain s’impose ainsi comme un cœur géopolitique stratégique : à la fois socle territorial de la souveraineté nationale et tremplin d’influence régionale, il incarne la vision d’un Maroc pacifique, solidaire et visionnaire, fidèle à sa vocation historique de médiation, de coopération et de construction d’un avenir partagé.
Autonomie et développement : le binôme de la prospérité
Dans la pensée éclairée de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, l’autonomie ne se réduit pas à un simple cadre institutionnel ; elle constitue avant tout un moteur essentiel de développement humain, économique et territorial. Conçue comme une dynamique de progrès collectif, elle vise à doter les populations sahariennes des moyens de participer pleinement à la construction de leur avenir, dans le respect de la souveraineté nationale et de la cohésion du Royaume.
Depuis 2015, plus de quatre-vingts milliards de dirhams ont été investis dans les provinces du Sud dans le cadre de projets structurants d’une ampleur sans précédent. Ces initiatives comprennent la réalisation du grand port atlantique de Dakhla, la création de zones industrielles et logistiques, la modernisation des réseaux routiers et énergétiques, tels que la Voie Express Tiznit–Dakhla, reliant les provinces méridionales au reste du Royaume, ainsi que la mise en œuvre de programmes éducatifs et de formation adaptés aux besoins de la jeunesse locale. L’accès généralisé à l’eau potable et à l’électricité, ainsi que plusieurs projets touristiques ambitieux, notamment dans l’hôtellerie et l’écotourisme, sont également en cours de développement. Ces réalisations ont renforcé le tissu économique local et généré des milliers d’emplois directs et indirects, en particulier pour les jeunes et les femmes. Elles traduisent la volonté royale d’ériger le Sahara marocain en un pôle économique majeur, fondé sur la durabilité, l’innovation et la valorisation des potentialités humaines et naturelles.
Guidé par la vision stratégique de Sa Majesté le Roi, le Sahara Marocain s’affirme désormais comme un véritable centre d’impulsion économique et un espace d’intégration régionale. Carrefour entre l’Atlantique et le Sahel, il se positionne comme une passerelle d’échanges, de coopération et d’investissement, au service de la prospérité partagée.
Dans cette perspective, l’autonomie prend toute sa dimension : elle constitue l’ossature politique et institutionnelle, tandis que le développement en incarne la substance concrète. Ensemble, ils forment le socle d’un modèle marocain singulier, où l’unité nationale se conjugue à la vitalité locale, et où la souveraineté s’exprime à travers la justice territoriale, la participation citoyenne et une croissance inclusive.
Vers la finalisation du plan : le Maroc en marche
Les mois à venir s’annoncent décisifs dans la trajectoire institutionnelle et politique du Royaume. Ils seront ceux de la synthèse, de la précision et de la consolidation. Les groupes de travail, réunissant experts, représentants institutionnels, élus et acteurs régionaux, poursuivent leurs délibérations afin de définir les contours opérationnels de l’autonomie : répartition des compétences, articulation entre les institutions locales et nationales, mécanismes de financement, et dispositifs de contrôle démocratique. Ce chantier, conduit sous la haute supervision de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, s’inscrit dans une démarche empreinte d’écoute, de concertation et de rigueur méthodologique.
Cette phase d’approfondissement vise à traduire, dans le langage du droit et de la gouvernance, la vision royale d’une autonomie authentiquement marocaine — une autonomie enracinée dans la souveraineté nationale et portée par les principes d’efficacité, de transparence et de participation citoyenne. Chaque proposition, chaque ajustement, participe à l’édification d’un cadre institutionnel équilibré, garantissant à la fois la cohésion du Royaume et la responsabilité des acteurs locaux.
Une fois ce travail de consolidation achevé, le Maroc soumettra aux Nations Unies une version actualisée et enrichie du plan d’autonomie, fruit d’un long processus de maturation politique, de dialogue national et de reconnaissance internationale. Ce dépôt marquera une étape historique : celle d’un projet devenu réalité institutionnelle, mûri par le temps, légitimé par le consensus national et consacré par l’adhésion croissante de la communauté internationale.
Ainsi, le Royaume s’apprête à franchir un cap majeur dans l’histoire de sa diplomatie et de sa modernisation institutionnelle : celui d’un Maroc en marche, fidèle à sa souveraineté, maître de son destin et résolument tourné vers l’avenir.
Le Sahara, pilier d’un Maroc d’avenir
L’autonomie du Sahara Marocain, telle que portée par Sa Majesté le Roi Mohamed VI, dépasse la simple logique du règlement territorial ; elle incarne la vision d’un Maroc souverain, moderne et solidaire. Ce projet ne constitue pas un aboutissement, mais bien un commencement : celui d’un Royaume du XXIᵉ siècle, fier de ses racines, assuré de son unité et résolument tourné vers un avenir ouvert sur l’Afrique et l’Atlantique.
En plaçant la stabilité, la justice territoriale et la prospérité partagée au cœur de l’initiative d’autonomie, Sa Majesté le Roi Mohamed VI inscrit son action dans la continuité historique de la Monarchie marocaine : unir, construire et faire rayonner le Royaume.
Tel est le sens profond de cette nouvelle ère : le Maroc n’attend plus le futur, il le façonne.
En plaçant la stabilité, la justice territoriale et la prospérité partagée au cœur de l’initiative d’autonomie, Sa Majesté le Roi Mohamed VI inscrit son action dans la continuité historique de la Monarchie marocaine : unir, construire et faire rayonner le Royaume.
Tel est le sens profond de cette nouvelle ère : le Maroc n’attend plus le futur, il le façonne.


















